Sila nouvelle est confirmée, Adele sera la première artiste à signer deux fois le générique d'un James Bond.Selon le quotidien anglais
Adeleva interpréter le générique du prochain James Bond. Elle a publié sur son compte twitter une photo d'une page où il est écrit «Skyfall», le titre de
Larumeur courait depuis un moment. C’est désormais officiel : Adèle interprétera bien le générique du nouveau film de la saga James Bond. Lundi, la chanteuse britannique a confirmé l
Ellecourt elle court la rumeur tandis que quelques sources évoquaient la participation d'Adele générique de "Skyfall", la chanteuse aurait
Jai longtemps fait semblant", a-t-elle avoué devant Bercy, après avoir chanté une version orchestrale, superbe, de "Skyfall", le générique du 23e James Bond. "C'était un
Larumeur ne cesse de grandir autour de la prochaine B.O du film James Bond. Adèle serait fortement pressentit pour interpréter le
OZdwS3G. 24 janvier 2022 - MAJ 24/01/2022 1833 Mathieu Lapon 24 janvier 2022 - MAJ 24/01/2022 1833 Action Espionnage James Bond À l'origine, Daniel Craig n'avait que quatre films dans son contrat James Bond, mais les producteurs ont expliqué pourquoi ce n'était pas suffisant. Le parcours de Daniel Craig en James Bond a été semé d'embûches. Des débuts polémiques de son casting jusqu'à son désir de démissionner après Spectre, le tout couplé au désir de l'ère Craig de faire une saga feuilletonnante où chaque volet est la continuité directe du précédent, les producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson ont dû roter du sang à plus d'une reprise. Heureusement pour tout ce petit monde, un plan en quatre films qui comprenait la fin qu'on connaît de Mourir peut attendre avait été pré-établi, de sorte que les studios ne se prennent pas les pieds dans le tapis. Ce quatrième et "dernier" opus a vraisemblablement été transcendé, puisque la saga s'est finalement fendue d'un cinquième film. Les co-détenteurs de la franchise ont expliqué en quoi Spectre était une fausse fin pour l'ère Craig, et en quoi Mourir peut attendre était nécessaire. ALERTE SPOILERS de tous les films Craig-Bond. Parce qu'il fallait absolument caster Ana de Armas dans un film de l'ère Craig ? Comme l'a récemment expliqué Craig à The Playlist, il s'était arrangé avec Broccoli aux alentours de Casino Royale pour décréter que son quatrième film, quels qu'en soient les tenants, se termine sur la mort de son personnage. La productrice avait accepté mais, au terme de Spectre le quatrième film, donc, James Bond était plus vivant que jamais, s'offrant même le luxe de partir à la retraite avec la psychologue Madeleine Swann Léa Seydoux pour vivre son meilleur feuilleton à l'eau de rose. Auprès de Deadline, Broccoli a ainsi retracé le parcours de Bond, d'étape en étape, et a expliqué en quoi finir sur Spectre n'était pas suffisant "Daniel Craig avait planté le germe de cette idée de tuer le personnage, mais il nous fallait lui donner forme en quatre films. Dans Casino Royale, il perd Vesper et ferme totalement son cœur pour devenir l'agent secret et l'assassin qu'on connaît. Dans Quantum of Solace, il exerce une revanche personnelle, il est dominé par la rage de son deuil. Dans Skyfall, on lui donne la perspective de reconstruire quelque chose, en s'entourant de personnages comme Q, Moneypenny et M. Sacrée famille Dans Spectre, il nous fallait conclure tout cela, et c'est pourquoi nous avions inclus Blofeld, le grand méchant de la saga dans les livres. Mais quand est venue la question de comment terminer l'arc de Blofeld dans le film, on pensait qu'il valait mieux en profiter pour conclure cette régénération de Bond. C'est pourquoi sur le pont, à la fin de Spectre, James ne tue pas Blofeld, mais se contente de le rendre à la justice. S'il veut construire quelque chose avec Madeleine, il doit rouvrir son cœur et renoncer à cette vie de tueur. C'est pour ça qu'il jette son arme à l'eau et s'en va avec elle. Ça devait être le point final de ces dix années d'ère Craig. Mais quelques mois après, Michael G. Wilson et moi sentions comme un vide. On a rappelé Daniel Craig pour négocier son retour et offrir un dernier chapitre à la saga, où l'on verrait tout l'héritage de ce James Bond, tout ce qu'il laisserait derrière sa reconstruction. La mort du personnage nous paraissait beaucoup plus pertinente, ici, et la question n'était plus de savoir si on devait le faire, mais comment le faire." Jamie & Mad Effectivement, Mourir peut attendre n'y sera pas allé de main morte sans mauvais jeu de mots, puisque le film aura bouleversé les codes classiques de la franchise. Fin des coucheries d'un soir, moins d'entrées en scène en grande pompe, affaiblissement physique du personnage, ajout d'un enfant et toute la gagatitude que cela implique pour notre agent secret au cœur de pierre... Bref, ce hors-piste volontaire était effectivement propice à donner une porte de sortie au personnage, qui a accompli tout ce qu'il pouvait et tout ce qu'il devait. Plus qu'un agent secret, l'homme aura atteint son plein potentiel, en laissant derrière lui autre chose que des douilles de pistolet et le souvenir froid des morts qu'il laisse une descendance. Qu'on aime ou pas, l'intention semble respectée et joliment rattrapée, vu la fin tiède de Spectre. Tout savoir sur Mourir peut attendre James Bond l'agent 007 va revenir dans une version complètement différente Cary Fukunaga, le réalisateur du dernier James Bond, accusé d'abus de pouvoir par plusieurs femmes James Bond Daniel Craig explique comment il a influencé la fin de Mourir peut attendre Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Les génériques des James Bond et leur musique sont aussi cultes que les films qu'ils introduisent, ils font partie intégrante de l'univers bondien. Broccoli et Saltzman voulaient une musique moderne pour accompagner les exploits de 007, un son nouveau et facilement identifiable par le public. De Monty Norman à David Arnold en passant par John Barry, de Shirley Bassey, Tom Jones, Louis Armstrong, à Madonna, en passant par Duran Duran, A-Ha, Tina Turner, ce sont justes quelques-uns uns des grands compositeurs, auteurs et chanteurs de leur époque à avoir contribués au succès de la saga James Bond. James Bond 007 contre Dr No Année 1962 Compositeur Monty Norman Orchestration Monty Norman Pour Dr No, John Barry sort une bande originale très énergique, de laquelle se détache un morceau aux solos de guitare d'une ampleur telle que les producteurs décident de l'utiliser pour le générique. Le James Bond Thème est né. The James Bond theme compose par Monty Norman. Orchestré par le talentueux John Barry deviendra la marque de fabrique de tous les opus, et permettra de reconnaître dès les premières notes les films de 007. Bons baisers de Russie Année 1963 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Paroles et musique Lionel Bart Interprétée par Matt Munro Après l’excellent travaille de John Barry sur Dr No, Broccoli et Saltzman lui confient Bon Baisers de Russie, et les producteurs décident de donner plus d'envergure à leur deuxième générique. Ils lui demandent d'écrire une chanson spécialement pour le film. Avec le concours de Lionel Bart pour les paroles, Barry écrit From Russia with love. Le premier thème vocal de la série sera interprété par Matt Munro. Matt Munro, a longtemps travaillé avec Michel Legrand. Il est accompagné par l’orchestre de John Barry. Goldfinger Année 1964 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème interprété par Shirley Bassey Paroles Leslie Bricusse, John Barry, Anthony Newley C’est avec Goldfinger que commença la tradition des thèmes devenant des airs à succès. Pour leur troisième film, les producteurs engagent cette fois-ci Shirley Bassey pour interpréter la chanson titre de Goldfinger. Avec sa voix chaude et envoûtante, le succès est total. La musique de Barry et la voix de Bassey sont en parfaite adéquation avec le personnage de Goldfinger. Après le James Bond Theme, ce thème deviendra le plus connu de la série, et Shirley Bassey aura l'honneur d'interpréter également les chansons de Les Diamants sont éternels et Moonraker. Opération tonnerre Année 1965 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème interprété par Tom Jones Paroles et musique Don Black & John Barry Pour Opération tonnerre c’est une nouvelle fois le compositeur John Barry qui s’y colle, et la chanson titre du film est interprétée par la star Tom Jones. A l’origine, la chanson titre devait s’appeler Mr Kiss Kiss Bang Bang », mais au tout dernier moment, il fut décidé d’un nouveau titre opération tonnerre ». Sur des paroles de Don Black, Barry composa cette nouvelle chanson en une nuit. Son œuvre sur Opération Tonnerre reste l’une de ses plus belles réussites. On ne vit que deux fois Année 1967 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Nancy Sinatra Paroles Leslie Bricusse Leslie Bricusse écrit les paroles de la chanson titre. Nancy Sinatra chanteuse à la mode avec quelques hits très sixties interprétera la chanson du générique. La volonté des producteurs est de prendre le talent du moment. Ce morceau est l'un des plus beaux de la série. La mélodie rend presque la chanson discrète, mais son refrain nous entête et s'installe parmi les plus belles James Bond songs. La musique de John Barry apporte aux thèmes habituels de Bond des touches orientales. Au service secret de sa majesté Année 1969 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Louis Armstrong Paroles Hal David Sean Connery est remplacé par George Lazenby et John Barry signe à nouveau la bande originale de ce sixième opus. Pour une majorité des fans, John Barry composa là sa meilleure bande originale. C’est aussi la première fois depuis James Bond 007 Contre Dr No que la chanson titre n’est qu’instrumentale. Au service secret de sa majesté met avant tout en valeur les arrangements de John Barry, qui y met toute la maestria de son orchestre pour habiller ce film, les instruments à corde donnent une grâce singulière à ce blues chaud et généreux, les paroles de Hal David et le choix de l'immense Louis Armstrong font de We Have All The Time in The World » que l’on entend dans le film, une excellente chanson d’amour. La série continue ainsi de piller dans le jazz, le Rhythm n' blues et les plus belles voix blacks du moment. Les diamants sont éternels Année 1971 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Shirley Bassey Paroles Don Black Sean Connery est de retour, ainsi que Shirley Bassey pour la deuxième fois. John Barry compose une nouvelle bande originale de premier ordre. La chanson titre se retient immédiatement, la chanson sera un requiem à la première période des 007. Ce sera l'unique fois où une chanteuse aura chantée pour deux James Bond. Jamais 2 sans 3 ? Le morceau connut moins de succès que celui de Goldfinger sept ans plus tôt, mais reste un standard parmi les thèmes de James Bond. Vivre et laisser mourir Année 1973 Compositeur George Martin Orchestration George Martin Thème Paul Mac Cartney & Wings Paroles Paul et Linda Mac Cartney Nouvel acteur, nouvelle musique, c’est la première fois que John Barry ne signe pas la musique d’un James Bond, et pour la première apparition de Roger Moore qui remplace Sean Connery, c’est George Martin le producteur des Beatles 1962-1969 qui prend le relais. Il propose au chanteur anglais le plus populaire de la planète, l'ex-Beatles, désormais Wings, Paul Mc Cartney de composer et d’interpréter la chanson titre du film. Live and let Die sera un énorme succès à travers le monde, et sera nominé aux oscars, pour la meilleure chanson. George Martin impose sa patte. L’homme au pistolet d’or Année 1974 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Lulu Paroles Don Black Après une courte pause John Barry est de retour pour la huitième fois. Malheureusement cette bande originale n’est pas à la hauteur de ses opus précédents. La chanson est l’œuvre de Don Black et est interprétée par une chanteuse écossaise très populaire outre-manche dans les années 60 Lulu. La chanson s’oublie instantanément. L’espion qui m’aimait Année 1977 Compositeur Marvin Hamlisch Orchestration Marvin Hamlisch Thème Carly Simon Paroles Carole Bayer Sager Pour la deuxième fois depuis le début de la série, un autre que John Barry signa la bande originale du film. Après avoir travaillé avec Barbara Streisand, Liza Minelli, Marvin Hamlisch compose son premier James Bond, la chanteuse Carly Simon interprète la chanson titre du film. C'est l'une des rares fois où le titre du film n'a rien à voir avec la chanson Nobody does it better ». Énorme succès de cette année là. L'interprète est très connue pour ses propres compositions ; et ses albums se vendent comme des petits pains à cette époque là. Si la chanson est un peu fragile musicalement, sa notoriété en a fait un classique. Le titre interprété par Carly Simon fut nominé pour l’oscar de la meilleure chanson. Moonraker Année 1979 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Shirley Bassey Paroles Hal David Bond reprend ces bonnes habitudes, avec John Barry aux commandes. La chanson titre est interprétée par une habituée de la série, Shirley Bassey. La mélodie est entêtante. Barry utilise également de façon très libre le thème de 007 pendant la poursuite en bateau au Brésil. Rien que pour vos yeux Année 1981 Compositeur Bill Conti Orchestration Bill Conti Thème Sheena Easton Paroles Michael Leeson Pour le premier Bond des années 80, les producteurs laissent le célèbre Bill Conti aux commandes, il est notamment connu pour son travail sur Rocky. C’est Sheena Easton, diva pop en vogue à l’époque qui interprète la chanson titre, elle devint un grand succès diffusé sur les radios du monde entier. Elle sera sélectionnée pour un oscar. Octopussy Année 1983 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Rita Coolidge Paroles Tim Rice John Barry est à nouveau de retour, la bande originale d’Octopussy est l’une de ses plus obsédantes, la chanson titre s'appellera All Time High. Elle sera interprétée par Rita Coolidge, chanteuse de Blues née en pleine terre country, sur des paroles de Time Rice, la chanson devint rapidement un standard. Dangereusement Vôtre Année 1985 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème Duran Duran Paroles John Barry & Simon Lebon Dangereusement vôtre bénéficie d’une bande originale très efficace. La chanson titre est écrite par John Barry & Simon Lebon. Les producteurs font appels à un talentueux groupe européen Duran Duran. C'est le premier morceau délibérément pop, formaté pour la FM. Il atteindra la première place des charts américains. Le premier clip de 007 sera diffusé sur MTV. Tuer n’est pas jouer Année 1987 Compositeur John Barry Orchestration John Barry Thème A-HA Paroles Pal Waaktar & John Barry James Bond réédite le coup avec le groupe du moment les Norvégiens de A-Ha, qui font craquer toutes les filles avec leurs tubes pops stylisés et leurs clips très cinématographiques. The Living Daylights est assez proche de celle de Duran Duran. C'est surtout une chanson remarquablement cohérente dans la discographie de A-ha alors qu'elle est composée par John Barry. Ils captent assez bien la noirceur dramatique de ce nouveau Bond, le premier avec Dalton. Tuer n’est pas jouer consacre le meilleur de John Barry avec une bande originale mémorable. Permis de tuer Année 1989 Compositeur Michael Kamen Orchestration Michael Kamen Thème Gladys Knight Paroles Gladys Knight Michael Kamen fournit une bande originale très efficace. Gladys Knight reprend la tradition des chanteuses à voix, des rythmes à blues, des variétés funky et jazzy qui ont fait le triomphe des premières chansons. L'interprète est surtout connue sur la scène américaine et confère une certaine qualité au générique. Goldeneye Année 1995 Compositeur Eric Serra Orchestration John Altman Thème Tina Turner Paroles Eric Serra Un nouveau Bond. Un nouveau style, Barbara Broccoli et Michael Wilson, les nouveaux producteurs, doivent trouver un nouveau créateur pour leur générique. Les deux producteurs ont dans l'idée de faire un retour en force. La bande originale avant-gardiste qu’ils avaient demandés à Eric Serra fidèle collaborateur de Luc Besson n’est pas une réussite. Ses thèmes expérimentaux, complètement déplacés dans un James Bond, provoquèrent une tollé chez les critiques, ainsi que chez les fans. En revanche la chanson du générique écrite par Bono et The Edge du groupe U2, et interprétée par une grande parmi les grandes la reine Tina Turner est bien meilleure. Il fallait bien une méga star pour entrer dans le top des meilleures chansons de génériques de la série. Bref, Tina chante une chanson qui aurait pu être un titre d'un de ses albums. Le mélange est détonnant. La chanson rappelle par certains côtés celle de Goldfinger. La boucle est bouclée. Désormais les Broccoli engagent des musiciens tendance, qui ont leur style. Demain ne meurs jamais Année 1997 Compositeur David Arnold Orchestration Nicholas Dodd Thème Sheryl Crow Paroles Sheryl Crow & Mitchell Froom Demain ne meurt jamais, bénéficie d’une interprétations très bondiennes. David Arnold ne démérita pas en signant une bande originale énergique et très riche en ambiances, l’une des meilleures de la période moderne. Arnold rend aussi hommage à Barry avec certains thèmes rappelant ceux de la première période. La chanson titre Tomorrow Never Dies interprétée par Sheryl Crow est excellente et reçoit une nomination aux Golden Globes. Le monde ne suffit pas Année 1999 Compositeur David Arnold Orchestration Nicholas Dodd Thème Garbage Paroles Garbage Après le succès de la bande originale de Demain ne meurt jamais, David Arnold travailla avec le parolier Don Black collaborateur de John Barry et engagea pour la chanson titre le groupe britannique pop et populaire, Garbage. Remarquons aussi que l’arrangement du thème de Bond réalisé par David Arnold pour la séquence de la poursuite en bateau rappelle les moments les plus inspirés de John Barry. Meurs un autre jour Année 2002 Compositeur David Arnold Orchestration Nicholas Dodd Thème Madonna Paroles Madonna & Mirwais C'est alors qu'en cette année 2002 est arrivée sur les ondes la nouvelle chanson de Madonna, prévue pour le générique du Bond anniversaire. Résolument électronique, cette interprétation se pose en décalage complet avec tout ce qui a déjà été fait. Pour son quarantième anniversaire, et son vingtième Bond officiel, 007 a fait appel à la plus grande. 20 ans de carrière, un nombre records de chansons numéro un dans les Charts, la seule chanteuse à vendre "sold out" tous ses concerts. Une bête de scène. Madonna, la légende rencontre le mythe. Die another day fait rentrer 007 dans l'ère de la musique électronique. De quoi ne pas prendre un coup de vieux prématuré. La bande originale de David Arnold, sa troisième de la série confirma sa bonne place au palmarès des compositeurs de Bond. L’ajout exclusif d’un chœur est tout simplement saisissant. David Arnold est l’un des deux seuls compositeurs avec John Barry à avoir écrit plusieurs musiques pour plus d’un film de la série des 007.
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Le plus beau à mon goût, le plus raffiné, le plus élégant, les plus esthétique. Un classique. Allez, je me lance. Un grand film. Dans son genre. Un de ces films dont on sait qu’ils donneront pour toujours des émotions liés à l’art et à la beauté. Oui, je sais, j’y vais fort. Mais j’ai été saisie comme un steak des deux côtés et je suis encore grillée ce matin avec de belles traces dans ma mémoire. Et Dieu sait si je n’en attendais rien. Une déception de plus de ces blockbusters américains ». La bande annonce m’avait paru sans intérêt. J’y étais avec des amis. Victime consentante de leur goût pour le dernier James Bond »… Mais c’était sans tenir compte du réalisateur Sam Mendès qui est anglais, c’est donc beaucoup plus subtil comme film, pardon les Zuniens qui travaillent beaucoup pour les mangeurs de pop-corn. Mendès a fait ses classes comme metteur en scène de Shakespeare, il a proposé un excellent film American beauty ». C’est un délicat. Il paraît que ce James bond a failli ne pas se faire. Qu’il y avait des problèmes d’argent. Que la Métro a remis le projet. Pas de regrets la Métro ! Encore une belle étoile à votre palmarès ! Wouah ! On en prend plein les yeux ! Dès le générique. Magnifique ! Quel film inventif toujours surprenant. On se dit Vont-ils trouver mieux ? » Hé oui. Dans cette surenchère d’effets spéciaux qui sont ici comme une galerie de musée avec des images, des tableaux, d’une beauté à foison qui ne dure que quelques secondes. On pense aux heures qu’il a dû falloir pour chaque plan qu’ils lancent sur l’écran dans une profusion de cascade. Dingue ! J’avais les yeux qui brillaient dans l’obscurité comme un enfant devant le sapin de Noël. Comme c’est bon d’être respecté en tant que spectateur. A un moment, je me suis même demandé si ce film serait autant apprécié par le public car il sort des normes de ce genre de divertissement pour être, paradoxalement, plus lent dans son rythme, plus classique dans son étude des personnages, créant pour la première fois un méchant Javier Bardem, étonnante création qui va bien au-delà de tous les autres, qui ne sont que des ombres de méchant ». Oui, ce qu’il y a de moins bien dans ce film, c’est la bande-annonce. Du moins on n’est pas déçu quand on découvre le tout ! J’ai éprouvé les mêmes émotions esthétiques qu’en regardant Blade Runner ». Un de mes films préférés. Certes Blade » a une dimension métaphysique que n’a pas Skyfall, mais Skyfall est tout aussi remarquable dans la composition, la richesse des décors, la construction d’un univers fantasmagorique et précieux. Le passage qui a pour cadre Shanghaï est époustouflant. Et une scène de meurtre entre autres sur des murs de lumière changeante aligne un nombre incroyable de vues différentes, toutes superbes et étonnantes. Je vais avoir des problèmes, pour continuer, à trouver des adjectifs ! L’histoire ? On s’en fiche. Il y a un méchant qu’il faut trouver. Er Bond, James Bond. Un peu vieilli. C’est le sujet d’ailleurs. Il a failli y rester. Après une poursuite qui ouvre le film et qui dure bien un quart d’heure. A la fois banale et étonnante. Déjà. Mais on ne sait pas encore ce qu’on va voir. Bond reprend donc du service. Même s’il n’a pas très bien réussi ses tests. Disons que pour un quinquagénaire à l’épaule percée il s’en tire plutôt bien. Et curieusement l’âge, pour la première fois, est au coeur du débat. Donnant d’autres enjeux et d’autres ombres. La vieillesse et l’enfance, avec une fin à la Rosebud ». Mais je n’en dis pas trop ! Craig donne une autre dimension à son personnage. Il n’a pas l’air mondain, le côté coureur qui composaient le charme de ses prédécesseurs. Lui est plus strict. Plus froid. Coquin quand même de temps en temps…. Avec les femmes, dans ce film, il y va mollo mais les rares scènes où il les taquine sont superbes de retenue, de floutage, d’espace, d’intimité. C’est un espion froid qui court bien. Quelles différences avec les autres films de la série ? Les personnages sont beaucoup plus travaillés. Ce qui le rend plus profond. Plus sérieux. Les gros plans des visages, très souvent employés, aident à donner une forme intime à un film grand espace. Par ailleurs les scènes d’amour, remarquablement filmées, sont plus sensuelles qu’érotiques. La différence entre les deux l’érotique est pour l’œil. C’est une promesse. Le sensuel passe dans le sang. On y est. Ce sont des femmes plus que des pin-up. Ah ! Ce déshabillé en soie crème et dentelle noire ! D’une élégance vintage à tomber. Je me souviens d’une scène où une métisse à ravir lui passe un rasoir de grand papa sur les joues qu’il a mousseuses elle est à genoux devant lui dans une robe rouge qui dessine sa cambrure. A l’arrière des lanternes de la même couleur. Un fond sombre. Chaque plan est travaillé. C’est admirable. Elle le touche, ils ne se touchent pas. Nous sommes touchés. Mmmmmmmm… J’ai noté deux petits ralentissements. C’est peu sur un film de plus de deux heures. Donc, voilà. Si vous avez envie d’aller au ciné. Si vous vous dites Tiens, vais-je aller voir le nouveau James Bond ? Est-ce une daube ou un divertissement sympa ? » N’hésitez pas. Un des plus beaux films que j’aie vus de ma vie. Il me fait un peu penser à Drive » si l’on s’en tient à l’esthétique qui est ici tout aussi travaillée mais beaucoup plus baroque, saupoudrée d’un zeste de mélancolie. Et la musique ! Ce film joue sans cesse avec les codes James Bond » pour les réinterpréter subtilement à sa façon. Ainsi l’air connu va être retenu, amorcé, travaillé jusqu’au moment où il explose...Quand ? Pourquoi ? Mais je vous laisse le découvrir. Pour patienter, voici la très belle chanson d’ Adèle Skyfall » Oh ! La ! La ! Que dire de plus. J’ai envie de le revoir demain ! Qui est en fait aujourd’hui ! Vous ne risquez pas grand chose tous les critiques l’encensent ! Ah ! Un dernier point et non le moindre. C’est un film extrêmement actuel. Internet est une des vedettes. Même si les débauches d’écran sont monnaies courantes, on les a déjà vues dans Minority report » , ici elles sont esthétisées . Ce qu’il y a de super, en effet, dans ce film c’est le côté Kakou », flambeur de Sam Mendès. Il a sans cesse l’air de dire Bon, vous connaissez ça ? Vous l’avez déjà vu ? Regardez ce que j’en fais ! » Et il nous en met plein les yeux comme un gosse surdoué ! Mais l’essentiel n’est pas là. Les temps ont changé. Jusqu’à présent quand on nous montrait un fou qui manipulait des fusées, on se disait C’est du cinéma. » Tandis que là, dans ce film, on se dit que tout ce qu’on voit est vrai. Que nous sommes, notre civilisation européenne, comme M Judy Bench et James Bond, un vieux monde prêt à se dissoudre face à des technologies utilisées par des fous. Ce jeu d’espion, cette amoralité totale, ce plaisir de tout dominer, cette mégalomanie terrible, on sait qu’elle est vraie. Quelque part , dans la vraie vie, il y a des gens devant des écrans qui se foutent totalement de nous, fourmis dont ils ignorent même l’existence, comme les habitants de cette île abandonnée, décor fabuleux, eux parcourant à grandes enjambées, nous anéantissant, des territoires virtuels dont nous n’avons même pas idée. Il va falloir penser à notre Marabunta, les fourmis ! En attendant, bonne toile ! Et bravo Sam Mendès. Du cinéma, du vrai. Que c’est bon ! La photo qui illustre l’article vous présente Bérénice la petite française qui ne manque pas d’atouts ! Avec Ralph Fiennes, autre plaisir de l’aventure. Dernières nouvelles il paraît que "Skyfall" démarre très fort sur Paris ! Tu m'étonnes !J'imagine le bouche à oreille !
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