Dansle mythe, AthĂšnes, contrairement Ă  toute autre nation du monde connu, repousse l’assaut des Atlantes, dĂ©montrant ainsi vraisemblablement la suprĂ©matie de la vision de l’État de Platon. L’Atlantide perd la faveur des dieux et sombre dans l’ DĂ©couvrez763 vidĂ©os, 94 diaporamas photos et 348 articles archeologie - Page 9 Pouvezvous regarder Atlantide, la citĂ© perdue sur un service de streaming ? Nous comparons Disney+, Netflix et Amazon Prime Video pour vous montrer le meilleur endroit oĂč regarder Atlantide, la citĂ© perdue. Trouvez oĂč regarder votre film prĂ©fĂ©rĂ© Atlantide, la citĂ© perdue aujourd’hui en streaming avec un essai gratuit. Atlantide la citĂ© perdue. Le rĂ©alisateur James Cameron et Simcha Jacobvici, rĂ©alisateur de documentaires canadien, partent Ă  la recherche de l'Atlantide. LĂ  oĂč la plupart des aventuriers ont cherchĂ© un lieu sous-marin, ce documentaire explore de multiples localisations qui rĂ©pondent le mieux Ă  la description qu'en a faite Platon. Toutesles vidĂ©os de Atlantide, la citĂ© perdue. Atlantide, la citĂ© perdue. LAtlantide : mĂ©tropole rayonnante, le lĂ©gendaire royaume insulaire aurait reprĂ©sentĂ©, il y a des milliers d'annĂ©es, la plus grande puissance insulaire de no k746. La citĂ© de l'Atlantide a-t-elle rĂ©ellement existĂ© ? Le rĂ©alisateur James Cameron et Simcha Jacobvici, rĂ©alisateur de documentaires canadien, partent Ă  la recherche de l'Atlantide. Le philosophe Platon est le premier Ă  mentionner la civilisation au 4Ăšme siĂšcle avant JC dont le rayonnement sÂŽĂ©tend de lÂŽAtlantique Ă  lÂŽEurope et Ă  lÂŽAfrique. Selon lui, la capitale de cet empire abritait un port aux multiples richesses, une flotte invincible, une grande technologie, une architecture circulaire et un temple dĂ©diĂ© au dieu de la Mer, PosĂ©idon. Cette capitale aurait Ă©tĂ© rayĂ©e de la carte aprĂšs une journĂ©e et une nuit de terribles tremblements de terre et tsunamis. AujourdÂŽhui, des preuves archĂ©ologiques dĂ©montrent quÂŽil y a 5 000 ans, une grande civilisation se serait Ă©tendue de Malte Ă  la Sardaigne et au-delĂ , avec pour Ă©picentre le sud de lÂŽEspagne, Ă  lÂŽouest du dĂ©troit de Gibraltar. Le professeur Richard Freund et lÂŽauteur Georgeos Diaz-Montexano sont convaincus que ces sites appartiennent Ă  une seule et mĂȘme culture celle de lÂŽAtlantide. Sur terre, ce documentaire a Ă©tĂ© tournĂ© en 4K, le format numĂ©rique que lÂŽon nomme Ă©galement Ultra Haute DĂ©finition », et sous lÂŽeau en 6K, une association qui donne un rendu spectaculaire Ă  couper le souffle. LĂ  oĂč la plupart des aventuriers ont cherchĂ© un lieu sous-marin, ce documentaire explore de multiples localisations qui rĂ©pondent le mieux Ă  la description quÂŽen a faite Platon, illustrĂ© par des arguments scientifiques et des images spectaculaires qui donnent vie Ă  lÂŽarchĂ©ologie. Illustration 3D de la statue de PosĂ©idon, basĂ©e sur la lĂ©gende de la citĂ© perdue d’Atlantis. CrĂ©dit image Fer Gregory/ShutterstockL’Atlantide est apparue pour la premiĂšre fois dans les dialogues de Platon TimĂ©e et Critias en 360 avant notre porte le nom du fils de PosĂ©idon, Atlas, qui est Ă©galement l’homonyme de l’ocĂ©an a dit que l’Atlantide dĂ©passait la superficie combinĂ©e de l’Asie Mineure et de la citĂ© perdue d’Atlantis a longtemps Ă©tĂ© un mystĂšre captivant et le sujet de nombreuses spĂ©culations, conjectures et Ă©merveillements publics. Selon la lĂ©gende, l’Atlantide Ă©tait peuplĂ©e par une sociĂ©tĂ© avancĂ©e qui a pĂ©ri aprĂšs que le sous-continent insulaire ait Ă©tĂ© submergĂ© sous les eaux de l’ocĂ©an Atlantique quelque part aprĂšs les colonnes d’Hercule supposĂ© ĂȘtre le dĂ©troit de Gibraltar. Le nom Atlantis est dĂ©rivĂ© du terme grec ancien pour Ăźle de l’Atlas ».L’Atlantide a Ă©tĂ© mythifiĂ©e pour avoir Ă©tĂ© fondĂ©e par PosĂ©idon, le dieu grec des mers. Il fit de son fils Atlas le roi et donna son nom Ă  la ville, ainsi qu’à l’ocĂ©an qui l’entoure, d’oĂč l’ocĂ©an Atlantique. La ville lĂ©gendaire, qui occupait soi-disant une superficie considĂ©rable, Ă©tait habitĂ©e par une civilisation qui menait rĂ©guliĂšrement des guerres contre les communautĂ©s voisines occupant les zones orientales bordant la mer MĂ©diterranĂ©e. Parce que les dieux sont devenus de plus en plus mĂ©contents de la vanitĂ©, de la cupiditĂ© et de la corruption qui dominent la sociĂ©tĂ© de l’Atlantide, la lĂ©gende veut qu’il y a 9 000 ans, dans un effort menĂ© par Zeus, les dieux grecs ont coulĂ© l’Atlantide en guise de punition pour son agression, son orgueil et sa mauvaise littĂ©rairesL’origine de la fable de l’Atlantide remonte Ă  360 avant notre Ăšre, lorsque la citĂ© perdue est apparue dans deux des dialogues de Platon, TimĂ©e et Critias. L’ancien scribe grec a dĂ©crit l’Atlantide comme un environnement semblable Ă  l’Eden regorgeant de ressources naturelles, de montagnes et de fruits exotiques. La ville a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©crite comme abritant un Ă©ventail de plantes et d’animaux, y compris des Ă©lĂ©phants. Platon a dĂ©crit l’Atlantide comme l’hĂŽte d’une sociĂ©tĂ© puissante et progressiste. En termes de taille, les Ă©crits de Platon dĂ©crivent un grand continent plus grand que la superficie combinĂ©e de l’Asie Mineure et du pays de la est crĂ©ditĂ© d’avoir créé la lĂ©gende de la citĂ© perdue de l’Atlantide. CrĂ©dit image vangelis aragiannis/ShutterstockParce qu’il n’y a pas de documents ou de rĂ©cits historiques de la lĂ©gendaire citĂ© perdue avant que Platon n’en parle, la plupart des historiens et des Ă©rudits croient que le philosophe grec antique est le seul responsable de la crĂ©ation de notre concept moderne de l’Atlantide en tant que grande ville antique perdue Ă  jamais sous le vagues de l’ocĂ©an. En crĂ©ant Atlantis, il semble que Platon ait Ă©crit une fable moralisatrice montrant les consĂ©quences de la corruption et de l’ ville fictiveBien qu’il soit largement considĂ©rĂ© comme une fiction, le mythe entourant l’Atlantide fait partie de la culture populaire depuis des millĂ©naires. Les tentatives modernes pour localiser la ville mystĂ©rieuse ont abouti Ă  un Ă©ventail de thĂ©ories couvrant le monde entier, y compris des endroits aussi Ă©loignĂ©s que l’ocĂ©an Atlantique, les CaraĂŻbes, la Bolivie, la Turquie, l’Allemagne et l’Antarctique. Dans les Ă©crits de Platon, cependant, l’emplacement de la citĂ© sous-marine perdue est dĂ©crit comme Ă©tant dans l’ocĂ©an Atlantique au-delĂ  de l’embouchure de la mer MĂ©diterranĂ©e, le dĂ©troit de dĂ©troit de Gibraltar vu de l’ouest. A gauche, l’Espagne, et Ă  droite, le Maroc. CrĂ©dit image Aitor Serra Martin/ShutterstockUn Ă©ventail de preuves a Ă©tĂ© trouvĂ© indiquant la nature fictive de l’histoire entourant la ville lĂ©gendaire. Cela inclut des informations gĂ©ologiques concernant la mĂ©canique de la tectonique des plaques et de la dĂ©rive des culture populaireLa mystĂ©rieuse citĂ© d’Atlantis continue de servir d’inspiration Ă  un large Ă©ventail d’artistes et d’écrivains de diverses disciplines artistiques. Dans les annĂ©es qui ont suivi l’époque de Platon, la ville mythique est apparue dans divers matĂ©riaux artistiques dans la littĂ©rature, les bandes dessinĂ©es, les films, les peintures, les Ă©missions de tĂ©lĂ©vision et mĂȘme la musique et les jeux vidĂ©o. Les films populaires mettant en vedette Atlantis incluent des Ɠuvres telles que le film Ă  succĂšs de 1995 Cocoon, le film d’animation Disney de 2001 Atlantis The Lost Empire et le long mĂ©trage de 2018 Aquaman. Temps de lec­ture 4 minutesPopularisĂ© Ă  l’é­poque antique par les Ă©crits du phi­lo­sophe grec Platon, le mythe de l’üle de l’Atlantide conti­nue d’en­flam­mer les ima­gi­na­tions, les hypo­thĂšses et la machine Ă  fan­tasmes. À tel point que pour de nom­breux pas­sion­nĂ©s, la fron­tiĂšre est extrĂȘ­me­ment tĂ©nue entre mythe et rĂ©alitĂ©. L’Atlantide et les Atlantes sont d’a­bord connus, dans l’i­ma­gi­naire col­lec­tif, pour des­cendre de la mytho­lo­gie grĂ©co-romaine. S’il faut Ă©vo­quer les pro­ta­go­nistes majeurs aux­quels nous iden­ti­fions la lĂ©gende ceux qui ont per­mis Ă  celle-ci de per­du­rer jus­qu’à aujourd’­hui il faut nom­mer Platon et Diodore de Sicile, les deux pen­seurs antiques qui ont popu­la­ri­sĂ© cette soi-disant “civi­li­sa­tion dis­pa­rue”. Quant aux per­son­nages mytho­lo­giques essen­tiels qui portent avec eux l’Atlantide, nous ver­rons qu’ils sont au nombre de quatre dont les Atlantes eux-mĂȘmes sans comp­ter leurs failles qui auront rai­son d’eux, PosĂ©idon, Clito et Atlas. L’histoire Diodore de Sicile, his­to­rien grec du Ier siĂšcle av. consacre l’un de ses para­graphes aux Atlantes, dans son Ɠuvre BibliothĂšque his­to­rique Livre III, dans lequel il rap­porte une his­toire uni­ver­selle du mythe des Atlantes et vĂ©hi­cule une ver­sion dont la vĂ©ra­ci­tĂ© demeure tou­jours une Ă©nigme aujourd’­hui. Impossible de ne pas l’é­vo­quer tant il est l’his­to­rien le plus proche Ă  avoir Ă©crit sur ce thĂšme-lĂ  aprĂšs le grand Platon nĂ© vers 428 et mort en 348 av. dont le rĂ©cit est la piĂšce-maitresse de ce que nous connais­sons aujourd’­hui sur le mythe. Comme le rap­pelle Roger-Pol Droit, “ce mythe du conti­nent dis­pa­ru figure dans le TimĂ©e et le Critias, deux des Ɠuvres du cĂ©lĂšbre phi­lo­sophe athĂ©nien”. Comme Ă  son habi­tude, le phi­lo­sophe grec fait par­ler son maĂźtre, Socrate, qui aurait rap­por­tĂ© une his­toire vieille de neuf mille ans, pre­nant la forme d’un rĂ©cit qui aurait d’a­bord Ă©tĂ© trans­mis au cĂ©lĂšbre lĂ©gis­la­teur athé­nien Solon consi­dé­rĂ© comme l’un des sept sages de la GrĂšce et sur­tout, le pĂšre des ins­ti­tu­tions grecques au pre­mier rang des­quelles la DĂ©mocratie. C’est un prĂȘtre Ă©gyp­tien qui, vers le dĂ©but du VIe siĂšcle av. aurait racon­tĂ© Ă  ce der­nier qu’une citĂ©, ancĂȘtre d’AthĂšnes, aurait dĂ©truit il y a long­temps une trĂšs grande puis­sance mari­time qui mar­chait impé­tueu­se­ment sur l’Europe et l’Asie, dont le cƓur impé­rial se serait situĂ© dans l’o­cĂ©an Atlantique, devant le dĂ©troit de Gilbraltar iden­ti­fiĂ© Ă  l’é­poque comme “les colonnes d’HĂ©raclĂšs” et for­mant un conti­nent Ă  part entiĂšre. Il Ă©voque ainsi une puis­sance orgueilleuse qui aurait fini par ĂȘtre vain­cue dans son expan­sion par les ancĂȘtres des AthĂ©niens, une dĂ©faite sĂ©vĂšre qu’ils auraient subi, sui­vie d’un effroyable cata­clysme per­pé­trĂ© par les dieux de l’Olympe pour punir dĂ©fi­ni­ti­ve­ment les Atlantes de leur arrogance. La mytho­lo­gie C’est lĂ  que la mytho­lo­gie entre en jeu, com­pre­nant avec elle toutes ses rami­fi­ca­tions et les mul­tiples inter­pré­ta­tions qu’elle a sus­ci­tĂ©es au grĂ© de l’his­toire, moins par rĂ©elle croyance que par une rĂ©elle machine Ă  fan­tasmes exci­tant l’imaginaire. Il faut savoir qu’à l’o­ri­gine, d’a­prĂšs le mythe, lorsque les dieux de l’Olympe se par­tagent les terres pri­mi­tives, c’est Ă  PosĂ©idon que revient le contrĂŽle de cette Ăźle. Celle-ci est connue pour regor­ger d’un nombre incal­cu­lable de richesses natu­relles, ani­males, miné­rales et vĂ©gé­tales, ce qui lui vaut d’ĂȘtre tou­jours assi­mi­lĂ©e aujourd’­hui aux nom­breux “para­dis per­dus” tels l’Eldorado Inca, qui conti­nuent Ă  faire l’ob­jet d’une quĂȘte indi­cible chez de nom­breux his­to­riens, gĂ©o­graphes, ou autres passionnĂ©s. C’est sur cette Ăźle que PosĂ©idon tombe amou­reux d’une jeune orphe­line, une mor­telle Atlante avec qui il fera 10 enfants. L’aĂźnĂ© s’ap­pelle Atlas. Ce der­nier divise l’üle en plu­sieurs sec­teurs de pou­voirs qu’il par­tage avec ses autres frĂšres. Mais – et c’est lĂ  une des grandes contra­dic­tions qu’il existe dans le rap­port hommes/dieux issu de la mytho­lo­gie – en plus des atouts natu­rels dont est rem­plie l’üle, viennent s’a­jou­ter les dons de PosĂ©idon qui offrent aux Atlantes la puis­sance mari­time et l’opulence. Au dĂ©but, les Atlantes font preuve d’une incom­pa­rable sagesse, s’ef­forcent de vivre hono­ra­ble­ment et har­mo­nieu­se­ment en Ă©di­fiant une socié­tĂ© exem­plaire. Mais, trĂšs vite, le goĂ»t du pou­voir et de la richesse finissent par avoir rai­son de leur Ă©thique et de leur paci­fisme. Ils s’en prennent Ă  la citĂ© athé­nienne ances­trale qui leur afflige un pre­mier sĂ©rieux revers. C’est ainsi que leur arro­gance et leur esprit bel­li­queux aurait atti­rĂ© sur eux la foudre des dieux de l’Olympe, rom­pant mĂȘme leur culte pour PosĂ©idon. IndignĂ© par leur inso­lence, Zeus pro­voque l’en­se­ve­lis­se­ment fatal de l’é­ter­nelle CitĂ© maritime. L’imaginaire, entre rĂ©a­li­tĂ© et mythe Depuis Platon, l’Atlantide n’en finit pas d’exciter les pas­sions. MĂȘme l’un des plus grands phi­lo­sophes de l’AntiquitĂ© cĂšde Ă  la ten­ta­tion, rĂ©cu­pĂšre le mythe et construit son propre ima­gi­naire qui consiste Ă  faire de l’Atlantide l’anti-AthĂšnes. Le rĂ©cit de cette citĂ© lĂ©gen­daire per­met Ă  Platon de van­ter les ins­ti­tu­tions de la GrĂšce, en par­ti­cu­lier celles d’AthĂšnes. Comme l’ex­plique Roger-Pol Droit, “le mythe revient ensuite au XVIIe siĂšcle avec Francis Bacon qui invente “la Nouvelle Atlantide”, un SuĂ©dois qui s’ap­pe­lait Olof Rudbeck en 1679 fait de l’Atlantide la patrie de la Scandinavie, le mythe de la race aryenne, nor­dique, etc. Les Atlantes n’ont jamais exis­tĂ©, sauf dans le rĂȘve de ceux qui y croient Certains les ont cher­chĂ©s archĂ©o­lo­gi­que­ment comme ils le peuvent et les Atlantes n’ar­rĂȘtent pas d’ha­bi­ter, mĂȘme encore aujourd’­hui, des bandes des­si­nĂ©es, la science-fiction, des films de fan­tai­sie, des jeux vidĂ©o pen­sons Ă  Assassin’s Creed Odyssey dans laquelle l’é­ton­nante citĂ© est reproduite. Ce Ă  quoi Christian Gratalou ajoute que “l’Atlantide a aussi Ă©tĂ© une hypo­thĂšse pour essayer de dres­ser un pont gĂ©o­lo­gique entre l’AmĂ©rique et l’Afrique quand on s’est aper­çu, non seule­ment que les formes s’emboitaient, quand on a car­to­gra­phiĂ© au XVIe siĂšcle, mais que les roches Ă©taient les mĂȘmes lorsque le jĂ©suite Athanasius Kircher, au XVIIe siĂšcle, a mon­trĂ© que les roches Ă©taient les mĂȘmes au BrĂ©sil et en Afrique, dĂ©dui­sant une conti­nui­tĂ© gĂ©o­lo­gique cer­taine qui pour­rait pla­cer l’üle entre les deux continents”. Jusqu’à aujourd’­hui, nom­breux sont les explo­ra­teurs et natu­ra­listes convain­cus qu’ils vont trou­ver la trace du conti­nent englou­ti dans les pro­fon­deurs de l’Atlantique en ras­sem­blant notam­ment des don­nĂ©es gĂ©o­lo­giques pré­sentes avec celles qui ont pu ĂȘtre signa­lĂ©es dans le rĂ©cit platonicien. Quelle civilisation perdue a Ă©tĂ© mentionnĂ©e dans les Ɠuvres de Platon ? L’üle mythique de l’Atlantide est un objet de fascination parmi les philosophes et historiens occidentaux depuis prĂšs de 2500 ans. Les anciens Grecs Ă©taient divisĂ©s quant Ă  savoir si l’Atlantide Ă©tait ou non une mĂ©taphore ou une rĂ©alitĂ©. Depuis lors, des efforts ont Ă©tĂ© dĂ©ployĂ©s pour relier l’Atlantide Ă  des lieux historiques, notamment l’üle grecque de Santorin. Platon le dĂ©crit comme un royaume puissant et avancĂ© qui a coulĂ©, en une nuit et un jour, dans l’ocĂ©an. Son dialogue Critias » affirme qu’il a entendu l’histoire de l’Atlantide de son grand-pĂšre, qui l’avait entendue de l’homme d’État athĂ©nien Solon, qui l’avait apprise d’un prĂȘtre Ă©gyptien, qui a dit que cela s’était passĂ© 9 000 ans auparavant. En fin de compte, la preuve de l’Atlantide devient un long train de » il-dit-elle-dit. »Cependant, il est clair que l’histoire de l’Atlantide n’a pas Ă©tĂ© utilisĂ©e pour une prĂ©cision historique – les dialogues de Platon montrent clairement que peu importe qui, oĂč ou comment l’Atlantide existait le cas Ă©chĂ©ant, elle devait fonctionner comme une mĂ©taphore. Mais un tel fait n’a pas empĂȘchĂ© les historiens et les scientifiques de chercher la vĂ©ritĂ© dans l’ocĂ©an Atlantique. De temps en temps, des preuves seront trouvĂ©es — une ville prĂ©historique marĂ©cageuse sur la cĂŽte espagnole; une formation rocheuse sous—marine suspecte aux Bahamas – qui pourrait ĂȘtre une source de l’histoire de l’Atlantide. Parmi ceux-ci, le site le plus acceptĂ© est l’üle grecque de Santorin l’ancienne ThĂ©ra, une caldeira Ă  moitiĂ© submergĂ©e. Qu’en pensez-vous ? La citĂ© mythique de l’Atlantide existait-elle vraiment ? DĂ©couvrez ceci vidĂ©o pour en savoir plus Aztlan est-elle la terre d’origine de la grande civilisation aztĂšque, ou n’est-elle qu’une terre mythique dĂ©crite dans les lĂ©gendes ? Le peuple aztĂšque du Mexique a créé l’un des empires les plus importants des anciennes AmĂ©riques. Bien que l’on sache beaucoup de choses sur leur empire situĂ© lĂ  oĂč se trouve aujourd’hui la ville de Mexico, on en sait moins sur le tout dĂ©but de la culture aztĂšque. Beaucoup considĂšrent l’üle disparue d’Aztlan comme une ancienne terre natale oĂč le peuple aztĂšque a commencĂ© Ă  se former comme une civilisation avant sa migration vers la vallĂ©e du Mexique. Certains prĂ©tendent qu’il s’agit d’une terre mythique, semblable Ă  l’Atlantide ou Ă  Camelot, qui vivra Ă  travers la lĂ©gende mais qui ne sera jamais retrouvĂ©e dans l’existence physique. D’autres croient qu’il s’agit d’un vĂ©ritable lieu physique qui sera un jour identifiĂ©. Les recherches pour la terre d’Aztlan se sont Ă©tendues de l’ouest du Mexique jusqu’aux dĂ©serts de l’Utah dans l’espoir de trouver l’üle lĂ©gendaire. Cependant, ces recherches ont Ă©tĂ© infructueuses, car l’emplacement – et l’existence – d’Aztlan restent un mystĂšre. Photo composite d’une pyramide aztĂšque, pas un lieu rĂ©el Les sept tribus de Chicomoztoc La crĂ©ation de la civilisation Ă  Aztlan est nĂ©e d’une lĂ©gende. Selon la lĂ©gende Nahuatl, il y avait sept tribus qui vivaient autrefois Ă  Chicomoztoc – le lieu des sept grottes ». Ces tribus reprĂ©sentaient les sept groupes Nahua Acolhua, Chalca, Mexica, Tepaneca, Tlahuica, Tlahuica, Tlaxcalan et Xochimilca diffĂ©rentes sources fournissent des variations dans les noms de ces groupes. Les sept groupes, Ă©tant de groupes linguistiques similaires, ont quittĂ© leurs grottes respectives et se sont installĂ©s comme un seul groupe prĂšs d’Aztlan. Selon certains rĂ©cits, l’arrivĂ©e des sept groupes Ă  Aztlan a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e par l’arrivĂ©e d’un groupe connu sous le nom de Chichimecas, qui Ă©taient considĂ©rĂ©s comme moins civilisĂ©s que les sept groupes Nahua. Les Mexica ont Ă©tĂ© le dernier groupe Ă  se rendre Ă  Aztlan, et ont peut-ĂȘtre Ă©tĂ© ralentis en raison d’une longue sĂ©cheresse entre 1100 et 1300 aprĂšs JC. Cette carte inhabituelle de 1704, dessinĂ©e par Giovanni Francesco Gemelli Careri, est la premiĂšre reprĂ©sentation publiĂ©e de la lĂ©gendaire migration aztĂšque d’Aztlan, un mystĂ©rieux paradis quelque part au nord-ouest du Mexique, vers Chapultepec Hill, actuellement Mexico City. Aztlan Ă©tait-il un paradis ou une terre de tyrannie ? Le mot Aztlan signifie la terre au nord, la terre d’oĂč nous, les AztĂšques, sommes venus. » On dit qu’en fin de compte, les habitants d’Aztlan furent connus sous le nom d’AztĂšques, qui Ă©migrĂšrent ensuite d’Aztlan vers la VallĂ©e du Mexique. Dans certains rĂ©cits, Aztlan est considĂ©rĂ© comme une terre de paradis pour tous les habitants. Dans le Codex Aubin, Aztlan Ă©tait un lieu oĂč les AztĂšques Ă©taient soumis Ă  l’Azteca Chicomoztoca, l’élite tyrannique. Pour Ă©chapper Ă  la Chicomoztoca, les AztĂšques ont fui Aztlan, conduits par leur prĂȘtre
 Dans la lĂ©gende, le dieu Huitzilopochtli leur a dit qu’ils ne pouvaient pas utiliser le nom Azteca, et qu’ils seraient connus comme Mexica. La migration aztĂšque d’Aztlan Ă  TenochtitlĂĄn est un Ă©lĂ©ment trĂšs important de l’histoire aztĂšque. Elle a commencĂ© le 24 mai 1064, qui Ă©tait la premiĂšre annĂ©e solaire aztĂšque. Les Mexica partent d’AztlĂĄn. Du Codex Boturini du 16Ăšme siĂšcle. Créé par une main aztĂšque inconnue au XVIe siĂšcle. Aztlan Ă©tait une Ăźle sur un lac Bien qu’Aztlan n’ait jamais Ă©tĂ© physiquement identifiĂ©, elle a Ă©tĂ© dĂ©crite comme une Ăźle. PlutĂŽt qu’une Ăźle dans la mer, c’est une Ăźle sur un lac. Les Ă©rudits ont fait de nombreuses tentatives pour localiser Aztlan, dans l’espoir de trouver l’endroit oĂč les AztĂšques, plus tard connus sous le nom de Mexica, sont nĂ©s. Certains ont soutenu que la recherche de l’Atlantide et la recherche d’Aztlan sont une seule et mĂȘme chose, car ce sont simplement deux noms diffĂ©rents pour la mĂȘme terre. Cependant, ceci a Ă©tĂ© contestĂ©, et beaucoup d’érudits Ă  la recherche d’Aztlan sont d’avis que c’est une terre sĂ©parĂ©e de la citĂ© perdue de l’Atlantide . Un grand mystĂšre entourant Aztlan est de savoir exactement Ă  quelle distance au nord se trouvait la rĂ©gion. Avec des recherches qui s’étendent jusqu’en Utah, il est possible que les AztĂšques ne soient pas du tout originaires du Mexique, mais que leur culture se soit formĂ©e dans une rĂ©gion qui est maintenant les États-Unis avant leur migration vers la rĂ©gion maintenant connue comme la vallĂ©e du Mexique. Chicomoztoc – le lieu des sept grottes. L’origine mythique des tribus nahuatlaca ». De la Historia Tolteca chicimeca ». Un codex post-cortĂ©sien de 1550. La recherche d’Aztlan Bien que beaucoup de personnes aient cherchĂ© dans l’espoir de trouver Aztlan, les archĂ©ologues sont peu convaincus que sa dĂ©couverte rapportera beaucoup en termes de ruines ou d’artefacts. Trouver Aztlan offrira un aperçu de l’histoire des AztĂšques et de leur origine, bien qu’il soit convenu que l’origine des AztĂšques n’est pas aussi importante que leur migration vers la vallĂ©e du Mexique et les Ă©vĂ©nements qui ont suivi. Il y a trois problĂšmes mĂ©thodologiques qui se prĂ©sentent lorsqu’on essaie de dĂ©terminer oĂč Aztlan Ă©tait situĂ©. La premiĂšre est connue sous le nom d' Ȏtirement ». Il est probable que la civilisation aztĂšque n’a pas migrĂ© directement d’Aztlan vers la vallĂ©e du Mexique, car cela aurait Ă©tĂ© un trĂšs long voyage direct. Au lieu de cela, il est probable qu’ils ont zigzaguĂ© pendant qu’ils voyageaient, faisant des arrĂȘts qui auraient durĂ© pendant un certain temps. Il peut ĂȘtre difficile de faire la diffĂ©rence entre une destination temporaire et la durĂ©e totale du voyage. Un temple antique Ă  la lumiĂšre mystique. La lĂ©gendaire ville d’Aztlan sera-t-elle un jour retrouvĂ©e ? Le deuxiĂšme problĂšme est connu sous le nom de » stratification , qui reconnaĂźt qu’il y a probablement eu plus d’une migration du Nord vers le Sud, et il est difficile de dĂ©terminer exactement quelle migration pourrait ĂȘtre associĂ©e Ă  Aztlan. Le troisiĂšme problĂšme est connu sous le nom de pliage ». Ce problĂšme vient du fait qu’il peut y avoir eu des migrations d’aller-retour, du nord vers le sud, puis du sud vers le nord Ă  nouveau. Ces trois problĂšmes mĂ©thodologiques intensifient la difficultĂ© d’établir si Aztlan Ă©tait un vĂ©ritable lieu d’origine des AztĂšques, ou s’il s’agissait simplement d’un lieu lĂ©gendaire symbolique des AztĂšques. A ce jour, l’existence rĂ©elle d’une Ăźle connue sous le nom d’Aztlan n’a pas encore Ă©tĂ© confirmĂ©e. Beaucoup ont cherchĂ© la terre, dans l’espoir de mieux comprendre d’oĂč venaient les AztĂšques et peut-ĂȘtre de mieux comprendre l’histoire ancienne du Mexique
 Cependant, comme d’autres villes perdues, il est impossible de savoir si Aztlan sera un jour retrouvĂ©. C’était peut-ĂȘtre une Ăźle qui s’est enfoncĂ©e au fond du lac, ou qui a Ă©tĂ© altĂ©rĂ©e ou dĂ©truite d’une façon ou d’une autre. C’est peut-ĂȘtre une terre qui n’existe pas au sens physique du terme, et qui est une crĂ©ation de contes et lĂ©gendes expliquant d’oĂč les AztĂšques sont venus. Pour l’instant, elle reste un lieu lĂ©gendaire oĂč les AztĂšques se sont formĂ©s et sont devenus une puissante civilisation avant de migrer vers ce qui est maintenant connu sous le nom de Mexico. ReprĂ©sentation de CuauhtĂ©moc, le dernier tlatoani chef des AztĂšques. Source Ancient Origins Traduction © Le Savoir Perdu Des Anciens Pour nous soutenir <—

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