Lesinformations ci-dessous concernent l'Ă©tablissement Ecole Ă©lĂ©mentaire privĂ©e Saint Louis de Le Puy-en-Velay, elles proviennent directement et sans modification des sites Open Data du MinistĂšre de l'Education Nationale, de l'ONISEP et de l'INSEE qui les rendent publiques et accessibles Ă  tous gratuitement. La derniĂšre actualisation de cette fiche date du 25/09/2021. Auberge- 320m GĂźte Accueil Saint-François 6 Rue Saint-Mayol 43000 Le Puy-en-Velay Religious hostel. Automobile. Parking - 66m Place Saint-Pierre Latour Rue Saint-Pierre Latour. Parking - 371m - - accĂšs public - frais Rue Chaussade. Parking - 249m-Rue du GĂ©nĂ©ral Lafayette. Parking - 230m-Rue Jules VallĂšs. Parking - 194m - - accĂšs privĂ© Rue du PlĂątre. Parking - Lescompositions et les improvisations du duo sont le terrain d'explorations oĂč s'entremĂȘlent les timbres de la harpe chromatique et du piano. manifestations culturelles autour de Haute-Goulaine Ă©vĂ©nements dans le dĂ©partement Loire-Atlantique Rendez-vous Ă  la synagogue. Visites et circuits Schirmeck 67130 Du 01/07/2022 au 31/08/2022 Trouvezdes avis, les heures d'ouverture, des photos & videos pour Ogec Ecole Coll St RĂ©gis - St Michel - Enseignement Secondaire: CollĂšges Et LycĂ©es Prives Ă  Le Puy-en-Velay. TÉL: 0471072 Recherchez sur Infobel d'autres entreprises dans la catĂ©gorie Enseignement Secondaire: CollĂšges Et LycĂ©es Prives Ă  Le Puy-en-Velay. LePuy En Velay École Ă©lĂ©mentaire PrivĂ©e St RĂ©gis - St Michel École Ă©lĂ©mentaire privĂ©e St RĂ©gis St Michel Ă  Le Puy en Velay nombre d'Ă©lĂšves, adresse, mail, tĂ©lĂ©phone. Carte et plan. Lesinformations ci-dessous concernent l'Ă©tablissement Ecole Ă©lĂ©mentaire privĂ©e Saint RĂ©gis-Saint Michel de Le Puy-en-Velay, elles proviennent directement et sans modification des sites bDqHdm. Depuis la rentrĂ©e scolaire de septembre 2000, les Ă©lĂšves du CollĂšge St RĂ©gis – St Michel qui le souhaitent intĂšgrent l'École de Jeunes Sapeurs - Pompiers. La formation, qui s’adresse aussi bien aux filles qu’aux garçons, se dĂ©roule au sein mĂȘme de l'Ă©tablissement. GrĂące Ă  des cours thĂ©oriques et pratiques, les jeunes prĂ©parent 4 modules issus du plan de formation de la FĂ©dĂ©ration Nationale des Sapeurs - Pompiers de France, Ă  raison de deux heures par semaine et par niveau. Ils passent ensuite le Brevet National de JSP. Pour ĂȘtre recrutĂ© en cinquiĂšme, le jeune doit avoir l’ñge requis pour dĂ©buter la formation; ĂȘtre issu d’une commune oĂč il y a un Centre de Secours ou d’une commune dont la situation est compatible avec le fonctionnement d’un Centre. De plus, le jeune Ă©crit une lettre de motivation et passe un entretien de recrutement. Enfin, une visite mĂ©dicale permet de confirmer l’aptitude du jeune et valide l’inscription. L’annĂ©e de 6Ăšme permet au jeune de savoir si la formation dans laquelle il va s’engager en 5Ăšme lui convient. Les responsables valident la demande de recrutement en fonction de la motivation, du travail fourni et du comportement du jeune. Les 3 premiers modules sont prĂ©parĂ©s de la 5Ăšme Ă  la 3Ăšme. Des cours pratiques de secourisme et d'Ă©ducation physique athlĂ©tisme et parcours sportif sont dispensĂ©s, et des manƓuvres de lutte contre l'incendie sont rĂ©alisĂ©es. Les qui le souhaitent peuvent prĂ©parer le module JSP4 en LycĂ©e . Il est important de bien comprendre que, mĂȘme si cette Ecole de la citoyennetĂ© entend susciter des vocations de Sapeurs - Pompiers Volontaires, elle ne prĂ©tend pas conduire le jeune au professionnalisme. Celles et ceux qui sont intĂ©ressĂ©s pour intĂ©grer l’École de Jeunes Sapeurs-Pompiers du CollĂšge St RĂ©gis-St Michel sont invitĂ©s Ă  contacter le secrĂ©tariat de l’établissement au 04 71 07 20 80. Les JSP en voyage Ă  Paris La chorale JSP SoirĂ©e des Labels Employeurs SDIS La chorale JSP avec CLaudio CapĂ©o sur France TĂ©lĂ©thon 2019 2009 PhotothĂšque du CongrĂšs National des Sapeurs-Pompiers Ă  St Etienne Traces GPS > France > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Le Chambon-sur-Lignon > Malacourt > Etape 2 ardĂšche 2022 001Distance 88,0 KmDĂ©nivelĂ© positif mAltitude maximum mDĂ©nivelĂ© nĂ©gatif mAltitude minimum mCarte interactiveProfil de la trace GPSÀ propos de cette trace GPSNom Trace GPS Etape 2 ardĂšche 2022 001, itinĂ©raire, HĂŽtel-Restaurant Clair Matin, Chemin de Malacourt, Lotissement La Boiseraie, Malacourt, Le Chambon-sur-Lignon, Yssingeaux, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43400, France D 110, Saint-Cirgues-en-Montagne, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07510, France traces GPSGR 65Suisse > GenĂšve > GenĂšveRandonnĂ©e avec le GR65, Chemin de St Jacques de Compostelle, Ă  travers les Landes et les PyrĂ©nĂ©es-Atlantique deLarribar-Sorhapuru Ă  Roncevaux en Espagne. GĂźtes d'Ă©tapes, Chambres
Distance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Remo Arnoldi, Rue de Carouge, Plainpalais, GenĂšve, Grand GenĂšve, GenĂšve, 1205, Suisse Bunker, Route de Roncevaux, Orreaga, Roncevaux, Navarre, 31650, Espagne 654 - Le chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle via VĂ©zelayFrance > Nouvelle-Aquitaine > Dordogne > BergeracRandonnĂ©e GR654 Compostelle VĂ©zelayDistance 810,9 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 670 m - CoordonnĂ©es Rue Foncivade, La Madeleine, Bergerac, Dordogne, Nouvelle-Aquitaine, France mĂ©tropolitaine, 24100, France D 82, Étourvy, Troyes, Aube, Grand Est, France mĂ©tropolitaine, 10210, France 6FranceDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Promenade du Front de Mer, JetĂ©e Thiers, Ville d'ÉtĂ©, France mĂ©tropolitaine, 33120, France Fouillouse, Saint-Paul-sur-Ubaye, Barcelonnette, Alpes-de-Haute-Provence, Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur, France mĂ©tropolitaine, 04530, France tracĂ© complet de Saint-Gingolph Ă  SĂšteSuisse > Valais > Monthey > Saint-GingolphDistance 785,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 575 m - CoordonnĂ©es St-Gingolph, Rue du Port, Saint-Gingolph, Monthey, Valais, 1898, Suisse Place des Combattants d'Afrique du Nord, SĂšte, Montpellier, HĂ©rault, Occitanie, France mĂ©tropolitaine, 34200, France 3Belgique > Namur > Namur > Namur > BomelVĂ©lo EuroVĂ©loDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 248 m - CoordonnĂ©es Gare de Namur, Place de la Station, Bomel, Namur, Wallonie, 5000, Belgique Bidegorri Behobia, Behobia, Irun, Basse-Bidassoa, Guipuscoa, Pays basque autonome, 20304, Espagne Tour du Haut-Vivarais ArdĂšcheFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Saint-AgrĂšveRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR420, Tour du Haut-Vivarais, Ă  travers l'ArdĂšche via Saint-Bonnet-le-Froid, Lalouvesc, Satillieu, Saint-BarthĂ©lĂ©my-le-Plain, Plats, Champis, Boffres,
Distance 229,2 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Église Saint-AgrĂšve, Rue de l'Église, Saint-AgrĂšve, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France Plaisir bio, Rue du Docteur Tourasse, Saint-AgrĂšve, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France de Saint-Jacques-de-Compostelle de Saint-Germain-des-PrĂ©s Ă  Cap FinisterreFrance > Centre-Val de Loire > Loiret > Saint-Germain-des-PrĂ©s > MontantaumeRandonnĂ©e. En aller simple entre Saint-Germain-des-PrĂ©s et Fisterra. RandonnĂ©e CompostelleDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es 59, Avenue Principale, Montantaume, Saint-Germain-des-PrĂ©s, Montargis, Loiret, Centre-Val de Loire, France mĂ©tropolitaine, 45220, France Faro de Fisterra, Camiño Ăł Miradoiro Punta Bufadoira, O Cabo, Fisterra, A Corogne, Galice, 15155, Espagne TraversĂ©e de l'ArdĂšche Ă  VTTFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Boulieu-lĂšs-AnnonayVTT. En aller simple entre Annonay et Bourg-Saint-AndĂ©ol. Parc narurel rĂ©gional des Monts d'ArdĂšche. VTT ArdĂšche Montagne NatureDistance 306,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Route des Sables, Les Sables, Boulieu-lĂšs-Annonay, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07100, France Office de Tourisme du RhĂŽne aux Gorges de l'ArdĂšchel, Place du Champ de Mars, Quartier de Tourne, Bourg-Saint-AndĂ©ol, Privas, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07700, France DivideFrance > Hauts-de-France > Nord > Bray-DunesTraversez la France du Nord au Sud sur 2200 km de sentiers, chemins et petites routes... Magique ! / Vous connaissez la mythique Great Divide ? La French Divide est elle aussi en train de
Distance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Bray-Dunes, Dunkerque, Nord, Hauts-de-France, France mĂ©tropolitaine, 59123, France Haurtoenea, 30, Zelaiko errepidea, Lekorne, Mendionde, Bayonne, PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine, France mĂ©tropolitaine, 64240, France tour du lac de DevessetFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Devesset > Le Grand GarayRandonnĂ©e pĂ©destre. En boucle depuis Devesset. Massif central. RandonnĂ©e Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 8,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif 167 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Chemin du Lac, Le Grand Garay, Devesset, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France École de Voile, Chemin du Lac, Le Grand Garay, Devesset, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France Chemin de Saint RĂ©gis Haute-Loire, ArdĂšcheFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Le Puy-en-Velay > Pont d'EstroulhasRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR430 Chemin de Saint RĂ©gis Ă  travers la Haute-Loire et l'ArdĂšche au dĂ©part du Puy-en-Velay via Brives-Charensac, Saint-Germain-Laprade,
Distance 201,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es BaptistĂšre Saint-Jean, Rue du CloĂźtre, Pont d'Estroulhas, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43000, France Rue des Tables, Pont d'Estroulhas, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43000, France RhĂŽnaSuisse > GenĂšve > Le Grand-SaconnexVĂ©lo. En aller simple entre Le Grand-Saconnex et Palavas-les-Flots. VĂ©lo ViaRhĂŽna Alpes Montagne GenĂšve Lyon RhĂŽne MĂ©diterranĂ©e Mer NatureDistance 698,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 576 m - CoordonnĂ©es P+R P47, A1, Le Grand-Saconnex, Grand GenĂšve, GenĂšve, 1218, Suisse Rue FrĂ©dĂ©ric Mistral, Palavas-les-Flots, Montpellier, HĂ©rault, Occitanie, France mĂ©tropolitaine, 34250, France > Nouvelle-Aquitaine > PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques > HendayeDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Casino d'Hendaye, Itsasbazterreko bidexkako ibilaldia, Zokoburu, Hendaye, Bayonne, PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine, France mĂ©tropolitaine, 64700, France Hauptstraße, Schweigen-Rechtenbach, Bad Bergzabern, Landkreis SĂŒdliche Weinstraße, RhĂ©nanie-Palatinat, 76889, Allemagne TraversĂ©e de l'ArdĂšcheFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > DevessetVTT. En aller simple entre Devesset et Salavas. Massif central. VTT CĂ©vennes MassifCentral Montagne NatureDistance 206,0 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - Temps total 3 j 49 m - Date 11/07/14 - CoordonnĂ©es Camping du Lac de Devesset, Base de Loisirs, Devesset, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France Chemin de la Costette, Salavas, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07150, France tracĂ© complet de Saint-Gingolph Ă  SĂšteSuisse > Valais > Monthey > Saint-GingolphDistance 785,7 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 575 m - Temps total 1 j 10 h 55 m - Date 16/04/21 - CoordonnĂ©es St-Gingolph, Rue du Port, Saint-Gingolph, Monthey, Valais, 1898, Suisse Place des Combattants d'Afrique du Nord, SĂšte, Montpellier, HĂ©rault, Occitanie, France mĂ©tropolitaine, 34200, France et Loire sauvage - Tour du Mont AlambreFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Les EstablesVTT. En boucle depuis Les Estables. Massif Central. VTT Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 8,7 Km - DĂ©nivelĂ© positif 231 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Mairie des Estables, Route des BoutiĂšres, Les Estables, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France La Traverse, Rue de la Traverse, Les Estables, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France Lignon au Lac de Devesset - Le Chambon-sur-LignonFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Le Chambon-sur-Lignon > Le SarzierVTT. En boucle depuis Le Chambon-sur-Lignon. Massif central. VTT Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 40,0 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es 30, Rue de la Poste, Le Sarzier, Le Chambon-sur-Lignon, Yssingeaux, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43400, France Charensac - Les Estables par Le MonastierFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Brives-CharensacVĂ©lo. En aller simple entre Brives-Charensac et Les Estables. Massif central. VĂ©lo MassifCentral Montagne NatureDistance 31,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Avenue des Sports, Brives-Charensac, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43700, France D 631, Lamouroux, Les Estables, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France VallĂ©e de l'EyrieuxFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Chalencon > Pont de ChervilRandonnĂ©e pĂ©destre. En aller simple entre Chalencon et Saint-Martin-de-Valamas. Massif Central. RandonnĂ©e MassifCentral Montagne NatureDistance 22,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif 702 m - Altitude maximum 550 m - Temps total 6 h 45 m - Date 13/04/13 - CoordonnĂ©es Voie verte Dolce Via, Pont de Chervil, Chalencon, Privas, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07240, France Camping la Teyre, Quartier la Teyre, Saint-Martin-de-Valamas, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07310, France - Saint-AgrĂšve Chemin de Saint-RĂ©gisFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Saint-AgrĂšveRandonnĂ©e pĂ©destre. En aller simple entre Saint-AgrĂšve et Saint-Front. Massif central. RandonnĂ©e MassifCentral Montagne NatureDistance 32,1 Km - DĂ©nivelĂ© positif 801 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Rue de l'Église, Saint-AgrĂšve, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07320, France Les Bastides, Saint-Front, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43550, France 7 Du Col de la Charousse Haute-Loire, ArdĂšche Ă  La Bastide-Puylaurent LozĂšreFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > MonestierRandonnĂ©e pĂ©destre. En aller simple entre Monestier et La Bastide-Puylaurent. Massif Central. RandonnĂ©e LozĂšre MassifCentral Montagne NatureDistance 130,4 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es D 570a, Begue, Monestier, Tournon-sur-RhĂŽne, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07690, France Route de Mende, La Bastide, La Bastide-Puylaurent, Mende, LozĂšre, Occitanie, France mĂ©tropolitaine, 48250, France Tour du Meygal Le TestavoyreFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > QueyriĂšresRandonnĂ©e pĂ©destre. En boucle depuis QueyriĂšres. Massif central. RandonnĂ©e Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 13,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif 459 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es La Banque, QueyriĂšres, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43260, France Les Quatre Routes, D 18, Araules, Yssingeaux, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, France 65 De Maclas Loire Ă  Le Puy-en-Velay Haute-LoireFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Loire > VĂ©ranne > Le BuissonRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR 65 - Via Podiensis - PĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. À travers la Loire et la Haute-Loire de Masclas au Puy-en-Velay via
Distance 108,9 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Chemin de Chez Rambert, Le Buisson, VĂ©ranne, Saint-Étienne, Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 42520, France Rue des Capucins, Pont d'Estroulhas, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43000, France 2022 / 2600 n1 NewsFrance > Hauts-de-France > Pas-de-Calais > Le Touquet-Paris-PlageDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Boulevard de la Plage, Le Touquet-Paris-Plage, Montreuil, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France mĂ©tropolitaine, 62520, France O'Sullivans, D 6098, Mandelieu-la-Napoule, Grasse, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur, France mĂ©tropolitaine, 06210, France > Namur > Namur > Namur > BomelTotal 1709 kmDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 247 m - CoordonnĂ©es Gare de Namur, Place de la Station, Bomel, Namur, Wallonie, 5000, Belgique Bidegorri Behobia, Behobia, Irun, Basse-Bidassoa, Guipuscoa, Pays basque autonome, 20304, Espagne de paris Ă  MarseilleFrance > Île-de-France > Paris > ParisDistance 860,6 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum 595 m - CoordonnĂ©es 7, Place de l'HĂŽtel de Ville, Quartier Saint-Merri, Paris 4e Arrondissement, Paris, Île-de-France, France mĂ©tropolitaine, 75004, France Le Mistral, Quai du Port, Le Panier, HĂŽtel de Ville, 2e Arrondissement, Marseille, Bouches-du-RhĂŽne, Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur, France mĂ©tropolitaine, 13002, France 65Suisse > GenĂšve > GenĂšveDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Remo Arnoldi, Rue de Carouge, Plainpalais, GenĂšve, 1205, Suisse Bunker, Route de Roncevaux, Orreaga, Roncevaux, Pirinioak / Pirineo, Navarre, 31650, Espagne De Chaudeyrolles Haute-Loire au Pont sur la FontoliĂšre ArdĂšcheFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > La RochetteRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR73 Ă  travers la Haute-Loire et l'ArdĂšche de Chantemerle Ă  FontauliĂšre via MĂ©dille, Fonteysse, Villevieille, Bourlatier, Sagnes et Goudoulet, La Baricaude
Distance 35,1 Km - DĂ©nivelĂ© positif 865 m - Altitude maximum m - Temps total 3 h 24 m - Date 02/10/16 - CoordonnĂ©es La Rochette, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43430, France Le Pal, Le Roux, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07560, France Du Mont Gerbier-de-Jonc ArdĂšche Ă  Retournac Haute-LoireFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Sainte-EulalieRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR3 Ă  travers l'ArdĂšche et la Haute-Loire du Mont Gerbier-de-Jonc Ă  Retournac via Le Lac d'IssarlĂšs, Lafarre, Le Besset, Vielprat, Arlempdes, Goudet,
Distance 122,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es D 378, Sainte-Eulalie, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07310, France Baille, Rue de l'HĂŽtel de Ville, Retournaguet, Retournac, Yssingeaux, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43130, France partie 3 - SAINT-CHAMOND - LODEVEFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Loire > Saint-Chamond > Saint-Martin en Coailleux > Clos BernardRandonnĂ©e pĂ©destre. En aller simple entre Saint-Chamond et LodĂšve. Massif central. Montagne Noire, Massif central. RandonnĂ©e MassifCentral Montagne NatureDistance 361,1 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Rue Laurent Charles, Clos Bernard, Saint-Martin en Coailleux, Saint-Chamond, Saint-Étienne, Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 42400, France Le Minuscule, Rue Cavalerie, Cavalerie, LodĂšve, HĂ©rault, Occitanie, France mĂ©tropolitaine, 34700, France Tour du Velay Haute-LoireFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Vorey > Vorey-sur-Arzon > ChangeacRandonnĂ©e pĂ©destre sur le GR40, Tour du Velay, Ă  travers la Haute-Loire au dĂ©part de Vorey via Donaze, Le Monteil, MĂ©zĂšres, Saint-Julien-du-Pinet, PĂ©rignac, Le Pertuis, QueyriĂšres,
Distance 174,4 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Chemin des Brochets, Changeac, Vorey-sur-Arzon, Vorey, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43800, France D 103, Changeac, Vorey-sur-Arzon, Vorey, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43800, France du Meygal Haute-Loire 43France > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > QueyriĂšres > Le BourgRandonnĂ©e pĂ©destre. En boucle depuis QueyriĂšres. Massif Central. RandonnĂ©e Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 28,4 Km - DĂ©nivelĂ© positif 928 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es La Boria Delh Chastel, Chemin rural, Le Bourg, QueyriĂšres, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43260, France -> Nice 1 820,5 kmFrance > Bretagne > FinistĂšre > QuimperlĂ© > Bel AirDistance Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Place Winston Churchill, Rue des Gorgennes, Haute-Ville, Bel Air, QuimperlĂ©, Quimper, FinistĂšre, Bretagne, France mĂ©tropolitaine, 29300, France Centre commercial Nicetoile, 30, Avenue Jean MĂ©decin, Quartier Jean-MĂ©decin, Nice, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur, France mĂ©tropolitaine, 06000, France de Saint-RĂ©gis - Le Monastier-sur-Gazeille - Saint-FrontFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Saint-FrontRandonnĂ©e pĂ©destre. En aller simple entre Saint-Front et Le Monastier-sur-Gazeille. Massif central. RandonnĂ©e MassifCentral Montagne NatureDistance 22,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif 284 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Les Bastides, Saint-Front, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43550, France ChĂąteau abbatial, Place des SĂ©necterre, Artaud, Le Monastier-sur-Gazeille, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France TranseuropĂ©enne, L'Arverne, Route Centre-Europe Atlantique, La ComtoiseFrance > Nouvelle-Aquitaine > La Teste-de-BuchDistance 982,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es AllĂ©e des Albizzias, La Teste-de-Buch, Arcachon, Nouvelle-Aquitaine, France mĂ©tropolitaine, 33260, France 46, Rue de SĂ©lestat, Baldenheim, SĂ©lestat-Erstein, Bas-Rhin, Grand Est, France mĂ©tropolitaine, 67600, France et Loire sauvage - Bol d'air et globules rouges en altitudeFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Les EstablesVTT. En boucle depuis Les Estables. Massif Central. VTT Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 28,4 Km - DĂ©nivelĂ© positif 788 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Les Estables, Route des BoutiĂšres, Les Estables, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France Mairie des Estables, Route des BoutiĂšres, Les Estables, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France Signon et Mont MĂ©zencFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > ChaudeyrollesRandonnĂ©e pĂ©destre. En boucle depuis Chaudeyrolles. Massif central. RandonnĂ©e Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 22,8 Km - DĂ©nivelĂ© positif 756 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Église Saint-Michel, D 274, Chaudeyrolles, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43430, France Chaudeyrolles, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43430, France et Loire sauvage - Sur la trace des PĂšlerinsFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > Haute-Loire > Le Monastier-sur-GazeilleVTT. En boucle depuis Le Monastier-sur-Gazeille. Massif Central. VTT Boucle MassifCentral Montagne NatureDistance 28,9 Km - DĂ©nivelĂ© positif 723 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es Abbaye Saint-Chaffre, Place du Vallat, Le Monastier-sur-Gazeille, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France ChĂąteau abbatial, Place des SĂ©necterre, Artaud, Le Monastier-sur-Gazeille, Le Puy-en-Velay, Haute-Loire, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 43150, France > Normandie > Eure > Le Plessis-HĂ©bertDistance 660,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es 2, Rue des PrĂ©vanches, Le Plessis-HĂ©bert, Les Andelys, Eure, Normandie, France mĂ©tropolitaine, 27120, France Rue des Fontaines, Les Chazes, Saint-Germain, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07170, France en VTT depuis le Mont Gerbier-de-JoncFrance > Auvergne-RhĂŽne-Alpes > ArdĂšche > Sainte-EulalieVTT. En aller simple entre Sainte-Eulalie et Antraigues-sur-Volane. Massif central. VTT MassifCentral Montagne NatureDistance 29,5 Km - DĂ©nivelĂ© positif 652 m - Altitude maximum m - CoordonnĂ©es D 378, Sainte-Eulalie, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07310, France Le Saint-Vincent, Antraigues-sur-Volane, VallĂ©es-d'Antraigues-Asperjoc, LargentiĂšre, ArdĂšche, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France mĂ©tropolitaine, 07530, France L'autre cheminSĂ©joursRando zenLe Chemin de Stevenson version zen – Etapes allĂ©gĂ©es Le Chemin de Stevenson version zen – Etapes allĂ©gĂ©es 17 jours A partir de 1500 € * / PERSONNE DurĂ©e 17 jours Distance 254km Niveau 3h Ă  6h de marche / jour Votre randonnĂ©e Le Chemin de Stevenson en version Zen Vous rĂȘvez de randonner sur le Chemin de Stevenson mais aux grandes Ă©tapes, vous prĂ©fĂ©rez prendre le temps de marcher tranquillement et de dĂ©couvrir les paysages qui vous entourent ? Le Chemin de Stevenson en version zen est fait pour vous ! Les plus grosses difficultĂ©s du chemin ont Ă©tĂ© allĂ©gĂ©es avec des Ă©tapes complĂ©mentaires pour vous permettre de marcher zen ! Un sĂ©jour en demi-pension* en chambre personnelle pas de dortoir avec linge de lit et serviettes de toilette inclus – Tout compris avec transport d’un bagage maxi 13kg/ pers. et le retour au Puy-en-Velay depuis Saint-Jean du Gard inclus. Partez Ă  votre rythme sur le GR 70 et profitez de petites Ă©tapes pour une immersion totale dans la nature. L’itinĂ©raire ne prĂ©sente pas de difficultĂ©s particuliĂšres mĂȘme si les dĂ©nivelĂ©s restent importants. Les paysages traversĂ©s sont sublimes ! Retrouvez nos conseils pour bien prĂ©parer votre randonnĂ©e. Petit plus L’Agence L’Autre Chemin se situe au Puy-en-Velay – 5 rue Grangevieille, cela nous permet de vous re ncontrer facilement lors de votre dĂ©part et de nous offrir une bonne connaissance du chemin. Votre itinĂ©raire DĂ©nivelĂ© 6670 m RandonnĂ©e en libertĂ© Marcheur tranquille En famille Petites Ă©tapes – attention toutefois, une Ă©tape plus longue et incompressible entre Pont de Montvert et BĂ©douĂšs HĂ©bergement en chambres d’hĂŽtes ou hĂŽtels Chambre personnelle, pas de dortoirs Tarifs ExprimĂ©s par personne sur une occupation base 2 pers hemin de Stevenson en version zen – 17 jours / 16 nuits Tarifs Votre Voyage en demi-pension hors Ă©tape du Puy en nuit & pdj Transport de bagage inclus 1sac / pers – maxi 13kg Retour au puy-en-Velay inclus 1550€ / pers. OPTION Option Chambre single 1 personne +480€ Sans retour depuis St-Jean -50€ / pers *Hors Ă©tape du Puy-en-Velay – Pour vous offrir plus de souplesse dans le choix de votre restaurant l’étape du Puy-en-Velay vous est proposĂ©e en NuitĂ©e + petit-dĂ©jeuner. Frais de dossier 10€ / voyageur DĂ©couvrez nos versions plus courtes Introduction zen au Chemin de Stevenson 9 Ă  8 jours Conclusion zen au Chemin de Stevenson 10 jours RĂ©servez votre RandonnĂ©e Le Chemin de Stevenson Zen chemin de Stevenson en cliquant sur le jour de votre choix – Voir les conditions gĂ©nĂ©rales de vente Voyagez l’esprit serein, pensez Ă  l’assurance multirisque-annulation Les + de votre sĂ©jour Vous voyagez en libertĂ© et suivez le carnet de voyage fourni Vos Ă©tapes sont organisĂ©es en chambres d’hĂŽtes ou en hĂŽtels familiaux offrant confort, dĂ©couverte, authenticitĂ© et dĂ©paysement. Vos bagages sont livrĂ©s Ă  chaque Ă©tape 1 sac maxi 13kg / pers Votre retour est assurĂ© en minibus Programme jour par jour Nota Les Ă©tapes sont donnĂ©es Ă  titre indicatif et peuvent ĂȘtre modifiĂ©es selon les disponibilitĂ©s hĂ©bergeurs. JournĂ©e 1 Votre arrivĂ©e au Puy-en-Velay Une journĂ©e de dĂ©couverte de la ville du Puy-en-Velay. A la dĂ©couverte d'une ville Ă©tonnante par les monuments qui s'y concentrent, ses petites ruelles, ces maisons qui tĂ©moignent de son ruche passĂ© mais aussi par la vie qui l'anime, ses terrasses ... A faire, Ă  voir ‱ Le Puy-en-Velay > La CathĂ©drale et son CloĂźtre point de dĂ©part du Chemin de Saint Jacques de Compostelle > Notre-Dame de France > La Chapelle Saint-Michel > Les ruelles de la haute ville > L’HĂŽtel-Dieu et ses expositions > La Forteresse de Polignac > Pass monuments en vente auprĂšs de l’Office de Tourisme ou aux caisses des monuments. > Centre d’enseignement de la dentelle au fuseau > Le jardin Henry Vinay Parc du Fer Ă  cheval JournĂ©e 2 LE PUY-EN-VELAY - LE MONASTIER-SUR-GAZEILLE 19KM - 5H30 - D+ 690M Une premiĂšre journĂ©e de mise en jambes qui vous fera vous Ă©levez au-dessus de la ville du Puy avant de plonger vers les flots de la Loire oĂč vous traverserez le village de Coubon. Les chemins de Stevenson et de Saint-RĂ©gis sont commun et vous offrent de beaux points de vue depuis les crĂȘtes d'Archinaud avant de rejoindre la petite citĂ© de caractĂšre du Monastier-sur-Gazeille. A faire, Ă  voir ‱ Le Monastier sur Gazeille > L’Abbaye de Saint Chaffre qui mĂ©lange Roman et Gothique. > L’église Saint-Jean-Baptiste > Les fontaines circulaires et les lavoirs > MusĂ©e des Croyances populaires > MusĂ©e de l’Ecole > L’Espace culturel EuropĂ©en expositions > Le Viaduc de la RecoumĂšne > Saut Ă  l’élastique JournĂ©e 3 Le Monastier sur Gazeille - Macslaux / Ussel 14KM - 3H30 - D+ 480m Une belle Ă©tape aujourd'hui qui vous fait plonger Ă  nouveau vers la Loire sauvage et relier le magnifique village de Goudet. Alors bien sĂ»r, la remontĂ©e sera "dure", mais nous avons adaptĂ© l'Ă©tape pour qu'elle reste un vrai plaisir ! A faire, Ă  voir ‱ Saint-Martin de FugĂšres > L'Ă©glise ‱ Goudet > Balade au cƓur du centre village et la dĂ©couverte des toits polychromes > Balade pĂ©destre sur le sentier qui longe la Loire et vous mĂšne vers des gorges sauvages > Le ChĂąteau de Beaufort JournĂ©e 4 Masclaux / Ussel - Landos - 19KM - 5H - D+ 310M Changement de dĂ©cor aujourd'hui, votre randonnĂ©e vous fait dĂ©couvrir le plateau du DevĂšs, sa terre rouge volcanique qui nourrit les cultures de lentilles vertes du puy ! Vous traversez le Bouchet-Saint-Nicolas avant d'atteindre le village de Landos. A voir, Ă  faire ‱ Le Bouchet-Saint-Nicolas > Le lac volcanique du Bouchet ‱ Landos > Le lavoir et sa fontaine > Église St FĂ©lix > Le Marais de Ribains JournĂ©e 5 Landos - LANGOGNE - 20KM - 5h30 - D+ 340M Depuis Landos, vous atteignez assez facilement le village de Pradelles qui jouit de la rĂ©putation de plus beau village de France avant de dĂ©valer la piste qui vous conduit jusqu'Ă  Langogne... Et si c'Ă©tait l'occasion de "piquer" une tĂȘte dans le lac de Naussac ? A faire, Ă  voir ‱ Arquejols > Viaduc > ChĂąteau de Jagonas ‱ Pradelles > Visite du village > VĂ©lorail > Église nĂ©o-gothique > Espace aqualudique > La vue sur le GĂ©vaudan ‱ Langogne > Lac de Naussac – ActivitĂ©s nautiques et baignade > La filature CalquiĂšres > MusĂ©e d’Art SacrĂ© JournĂ©e 6 Langogne - CHEYLARD L'EVÈQUE / Chaudeyrac - 16km - 4H30 - D+ 475M Traversez la forĂȘt de Mercoire est toujours un moment intense. Elle s'impose au marcheur et propose dĂ©couvrir le sapin Stevenson, le Ron de Baoun ... Que vous soyez logĂ© au Cheylard l'EvĂšque ou Ă  Chaudeyrac, vous profiterez des magnifiques paysages. A faire, Ă  voir ‱ Saint-Flour-de-Mercoire > La forĂȘt dense la petite Ă©glise > Le ron de la Baoune - un chaos de blocs granitiques > Le sapin Stevenson > La stĂšle Pascalou Stevenson ‱ Cheylard-l'EvĂšque > Notre Dame de toutes les graces sur les hauteurs JournĂ©e 7 Cheylard l'EvĂšque / Chaudeyrac - La Bastide-Puylaurent - 22KM - 5H30 - D+ 635M Vous reprendrez bien un peu de montĂ©e ? Oui mais que le chemin est beau, il vous guide sur les pentes de la Gardille avant de plonger vers les premiers flots de l'Allier dominĂ© par les vestiges du chĂąteau de Luc. Le GR a Ă©tĂ© modifiĂ© depuis quelques temps et nous propose Ă  prĂ©sent de rejoindre La Bastide-Puylaurent relativement tranquillement depuis le Col d'Esperlouze. Si vous ne montez pas Ă  Notre-Ddame des Neiges aujourd'hui, nous vous proposons d'y monter le lendemain - Petite astuce, ne le dites Ă  personne ;- A faire, Ă  voir > La forĂȘt de la Gardille ‱ Luc > Les vestiges du chĂąteau > L'Allier naissante JournĂ©e 8 La Bastide Puylaurent - ChasseradĂšs - 22km - 6h ou 13km - 3h30 de marche -D+370m ou 22km - 5h50 - D+ 635M Aujoud'ui vous aurez le choix ... Soit partir directement en direction de ChasseradĂšs 13km Soit de revenir sur vos pas et de partir Ă  la dĂ©couverte de l'Abbaye Notre-Dame-des Neiges 21km pour rejoindre ChasseradĂšs. Quelque soit votre choix, vous profiterez d'une belle montĂ©e sur les pentes de la Gardille avant de rejoindre le petit village de ChasseradĂšs. A voir, Ă  faire ‱ La Bastide-Puylaurent > L'Abbaye Notre-Dame des Neiges ‱ ChasseradĂšs > L'Ă©glise Saint-Blaise JournĂ©e 9 CHASSERADÈS - BONNETES - 17,5KM - 4H30 DE MARCHE - D+475M Parce qu'il est bon de profiter de la montagne du Goulet, nous vous proposons de prendre le temps et de faire Ă©tape sur ses pentes juste au-dessus du village du Bleymard. A faire, Ă  voir ‱ Mirandol > Le viaduc ferroviaire JournĂ©e 10 BonnetĂšs - Station du Mont-LozĂšre - 10km - 3h30 de marche - D+420m Et si l'on prenait le temps de gravir ce gĂ©ant de Mont-LozĂšre . AprĂšs avoir traversĂ© le village du Bleymard, le sentier vous conduit sur les flancs du Mont-lozĂšre et plutĂŽt que de le "dĂ©fier" d'une traite, une petite Ă©tape Ă  la station permet de profiter de l'altitude et des paysages. Demain sera un autre jour. A faire, Ă  voir ‱ Le Bleymard > Le Lot > La chapelle Saint-Jean > Les toits de lauzes du Tournel > Le surprenant Mont-LozĂšre > Le Lot JournĂ©e 11 Station du Mont-LozĂšre - Pont de Montvert - 15,5km - 4h30 de marche - D+325m En voilĂ  une magnifique Ă©tape qui vous conduit au sommet du Mont-LozĂšre avant de redescendre Ă  Finiels pour un chemin offrant des perspectives Ă  couper le souffle. Vous surplombez plus bas le village de Pont de Montvert baignĂ© par le Tarn, ses flots vous berceront cette nuit ! JournĂ©e 12 Pont de Montvert - BĂ©douĂšs - 21km - 6h de marche - D+335m Une Ă©tape longue de votre parcours qu'il nous est impossible de diviser. Nous avons tout de mĂȘme trouvĂ© une variante qui limite le dĂ©nivelĂ© et un peu la longueur du parcours normal. Le chemin vous fait vous Ă©lever vers les crĂȘtes qui sĂ©parent le Tarn de la Mimente. BientĂŽt, vous rejoignez le col du Sapet. Vos pas vous conduiront ensuite facilement vers BĂ©douĂšs / CocurĂšs. A voir, Ă  faire ‱ Le Col du Sapet > La vue incroyable ‱ Florac > Carrefour des eaux du Tarn, du Tarnon, de la Mimente et du PĂȘcher > La Maison du Parc des CĂ©vennes situĂ©e dans le chĂąteau > Les petites rues JournĂ©e 13 BEDOUES - SAINT-JULIEN D'ARPAON 14,5KM - 4H DE MARCHE - D+345m Atteignez la jolie ville d'eau de Florac carrefour des cours d'eau La Mimente, le Tarn, le Tarnon et du pĂȘcher. AprĂšs avoir traverser cette citĂ©, vous enjamber le Tarnon... BientĂŽt vous suivez les flots de la fraĂźche Mimente et ses magnifiques vasques translucides... Vous atteignez facilement Saint-Julien d'Arpaon voire Cassagnas. Une Ă©tape toute en douceur ou presque !. A voir, Ă  faire ‱ Saint-Julien d'Arpaon > La magnifique et fraĂźche vallĂ©e de la Mimente > Les vestiges du chateau du XIIIĂšme siĂšcle > La chĂątaigneraie JournĂ©e 14 SAINT-JULIEN D'ARPAON - Serre La Can 21KM - 6h DE MARCHE - D+500m AprĂšs Cassagnas, c'est une belle montĂ©e en forĂȘt qui vous attend mais le paysage en haut et juste incroyable. Les odeurs , les essences d'arbres changent ... Vous marchez en terres presque mĂ©ridionales, un subtil mĂ©lange d'odeurs de vĂ©gĂ©tation du Sud de la France vous enveloppe... A voir, Ă  faire ‱ Entre Cassagnas et Saint-Germain de Calberte > Les ruines de la villa gallo-romaine > La vue panoramique JournĂ©e 15 Serre La Can - Saint-Etienne - VallĂ©e Française 10,5km - 3h de marche - D+100m Depuis Serre de la Can, vous rejoignez facilement aprĂšs une belle descente en forĂȘt, le village de Saint-Germain de Claberte. L'itinĂ©raire est trĂšs agrĂ©able pour atteindre Saint-Etienne-VallĂ©e Française. ‱ Saint-Germain la Calberte > Les ChĂątaigners > Le ChĂąteau du XIĂšme siĂšcle > L'Ă©glise Saint-Germain JournĂ©e 16 Saint-Etienne - VallĂ©e Française - Saint-Jean du Gard - 13km - 4h de marche - D+605m Et non vous n'avez pas fini de prendre de la hauteur, puisque votre sentier de Grande RandonnĂ©e vous invite "Ă  escalader" le magnifique Col de Saint-Pierre qui domine la riviĂšre du Gardon. Vous pĂ©nĂ©trez dans le dĂ©partement du Gard et il ne vous reste plus qu'Ă  dĂ©valer le chemin pour atteindre la douce ville de Saint-Jean du Gard baignĂ© par le Gardon. A voir, Ă  faire ‱ Saint-Jean du Gard > Le Pont Vieux > La Tour de l'Horloge > Le ChĂąteau Saint-Jean > La Filature Maison Rouge et son escalier Fer Ă  Cheval > La fontaine Stevenson > Le train Ă  vapeur JOURNÉE 17 SAINT-JEAN-DU-GARD - LE PUY-EN-VELAY Vous serez pris en charge ainsi que vous bagages sur le parking de la Poste au centre de Saint-Jean du Gard selon votre choix et disponibilitĂ©s Ă  8h30 ou 13h30 pour un retour au Puy-en-Velay Ă  12h15 ou 17h15. Options En option, L’autre Chemin vous propose Vous voyagez seul ? L’Autre Chemin vous propose un hĂ©bergement de qualitĂ© en chambre single avec supplĂ©ment +480€ Astuce Si vous ĂȘtes seule et que vous ne souhaitez pas opter pour le supplĂ©ment single, nous pouvons vous proposer un accueil en gĂźte et en chambre partagĂ©e avec d’autres marcheurs prĂ©voir drap de voyage et serviette de toilette. Le carnet d’étapes VĂ©ritable passeport Ă  faire tamponner Ă  chaque Ă©tape de votre chemin. Nous proposons en option le carnet d’étapes qui sera un souvenir sympa du Chemin de Stevenson. Tarif 5€ / carnet d’étapes lors de la rĂ©servation de votre sĂ©jour – sous rĂ©serve de disponibilitĂ© Optez pour une assurance multirisques et annulation -Europ Assistance Pour voyager l’esprit tranquille, L’Autre Chemin vous propose une solution d’assurance multirisques et annulation. Parce que vos vacances doivent rester un plaisir, votre assurance voyage vous permettra de faire face Ă  toutes les situations, d’en minimiser les consĂ©quences financiĂšres et de gĂ©rer la suite en toute sĂ©rĂ©nitĂ©. IMPORTANT L’assurance annulation – multirisques doit ĂȘtre prise au moment de la rĂ©servation, pensez Ă  sĂ©lectionner l’option lors de votre rĂ©servation. L’assurance ne peut ĂȘtre souscrite que pour les personnes disposant de leur rĂ©sidence fiscale en France. HĂ©bergements L’Autre Chemin a dĂ©veloppĂ© de nombreux partenariats avec des chambres d’hĂŽtes ou petits hĂŽtels traditionnels pour vous offrir confort et authenticitĂ© et que chaque Ă©tape soit encore une occasion de dĂ©couverte de l’architecture, de l’art de vivre, de la gastronomie mais Ă©galement un moment d’échange et de rencontre. A savoir Les Ă©tapes sur le chemin sont dĂ©terminĂ©es par le rythme de marche qui nous parait le plus adaptĂ©. Nous nous efforçons de vous proposer des Ă©tapes offrant confort, dĂ©couverte, authenticitĂ©. Cependant, le Chemin de Stevenson offre des possibilitĂ©s d’accueil parfois hĂ©tĂ©rogĂšnes. Quelques exemples d’hĂ©bergements du sĂ©jour le Chemin de Stevenson en version zen Le Clos Masclaux HĂŽtel la Remise Accueil en chambres d’hĂŽtes ou hĂŽtels Chambre personnelle, pas de dortoirs – Nous nous efforçons de vous proposer des Ă©tapes offrant confort, dĂ©couverte, authenticitĂ©. Cependant, le Chemin de Stevenson offre des possibilitĂ©s d’accueil parfois nous efforçons de vous proposer des Ă©tapes offrant confort, dĂ©couverte, authenticitĂ©. Cependant, le Chemin de Stevenson offre des possibilitĂ©s d’accueil parfois hĂ©tĂ©rogĂšnes. Info tarifs Ce prix comprend le logement en chambre twin, double ou single selon la formule choisie en demi-pension hors Ă©tape du Puy-en-Velay proposĂ©e en nuitĂ©e & pdj, les taxes de sĂ©jours, Le transport de bagages bagage de 13kg maxi Votre carnet de voyage, Le topo-guide Le Chemin de Stevenson 1 exemplaire / dossier, La trace GPX de votre itinĂ©raire Le retour jusqu’au Puy-en-Velay en minibus Options disponibles L’assurance multirisques-annulation, Chambre single Sans retour depuis St-Jean Ce prix ne comprend pas Le transport et les transferts jusqu’au point de dĂ©part, Les repas autres que ceux prĂ©cisĂ©s dans la formule choisie, Les boissons, L’argent de poche, Les visites ou activitĂ©s Ă©ventuelles, L’assurance multirisques-annulation, nuitĂ©es supplĂ©mentaires Les assurances annulation et multirisque et les frais de dossier 10€ / pers. Frais de dossier 10€ / personne Astuces L’Autre chemin vous propose des options pour plus de facilitĂ© et de confort. Pour vous aider Ă  partir en voyage, L’Autre Chemin vous propose la possibilitĂ© de RĂ©gler une partie de votre sĂ©jour en chĂšques vacances Ă  dĂ©poser Ă  l’agence Payer en plusieurs Ă©chĂ©ances Groupes AH, LE PLAISIR DE VOYAGER EN GROUPE, ON ÉCHANGE, ON PARTAGE 
 Vous souhaitez voyager Ă  vĂ©lo Ă©lectrique ou randonner avec au moins 10 compagnons de route ? Vous envisagez de randonner sur les chemins de grande itinĂ©rance Stevenson, Compostelle, Saint-RĂ©gis, le MĂ©zenc 
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] ».Ce propos paraĂźt s’inscrire dans une continuitĂ© 1 de l’actuelle Constitution de la Ve RĂ©publique indique que la France est une RĂ©publique indivisible, laĂŻque, dĂ©mocratique et sociale. Elle assure l’égalitĂ© devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances ».Le prĂ©ambule de la Constitution de 1946 rappelle que la Nation garantit l’égal accĂšs de l’enfant et de l’adulte Ă  l’instruction, Ă  la formation professionnelle et Ă  la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laĂŻque Ă  tous les degrĂ©s est un devoir de l’État ». 2Condorcet, dans son Rapport et projet de dĂ©cret sur l’organisation gĂ©nĂ©rale de l’instruction publique, Ă©crit en 1792 La Constitution, en reconnaissant le droit qu’a chaque individu de choisir son culte, en Ă©tablissant une entiĂšre Ă©galitĂ© entre tous les habitants de la France, ne permet point d’admettre, dans l’instruction publique, un enseignement, qui, en repoussant les enfants d’une partie des citoyens, dĂ©truirait l’égalitĂ© des avantages sociaux et donnerait Ă  des dogmes particuliers un avantage contraire Ă  la libertĂ© des opinions Condorcet, 1792. 3Cette continuitĂ© apparente ne fait illusion pour personne. La laĂŻcitĂ© est en effet devenue un enjeu, voire un otage du dĂ©bat politique, et la diversitĂ© de ses acceptions chez les responsables politiques comme parmi les penseurs mĂ©diatiques qui animent le dĂ©bat public brouille singuliĂšrement la tĂąche du personnel de l’éducation nationale. L’article L du code de l’éducation indique en effet qu’» outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission premiĂšre Ă  l’école de faire partager aux Ă©lĂšves les valeurs de la RĂ©publique ». Et il prĂ©cise Dans l’exercice de leurs fonctions, les personnels mettent en Ɠuvre ces valeurs ». 4Comment mettre en Ɠuvre aujourd’hui dans l’exercice quotidien de son mĂ©tier d’enseignant, de conseiller principal d’éducation, de personnel de direction, la laĂŻcitĂ© quand elle prend, dans le dĂ©bat public comme dans les propos du prĂ©sident de la RĂ©publique, des acceptions paradoxales ? Nous aborderons d’abord quelques questions que peuvent se poser les professionnels de l’Éducation nationale dans ce contexte avant de tenter de poser un diagnostic sur cet Ă©trange moment politique. I. Sacralisation de l’École et religion de la laĂŻcitĂ© ? 5L’auteur de l’Éloge des frontiĂšres, pour qui lĂ  oĂč il y du sacrĂ© il y a une enceinte » Debray, 2010, p. 36 s’est fait, dans Le Moment fraternitĂ© notamment, l’éloquent avocat de la sacralisation des savoirs et de l’École Remise Ă  niveau, l’école a perdu son statut de “lieu Ă  part”, oĂč s’apprend, Ă  l’écart des familles, la citoyennetĂ© rĂ©publicaine » Debray, 2009, p. 52. 6Il n’est pas vain de constater que des philosophes, comme Henri Pena-Ruiz, estiment, dans cet esprit, qu’on ne peut qualifier la laĂŻcitĂ©, parler de laĂŻcitĂ© ouverte ou plurielle revenant Ă  nier la laĂŻcitĂ© Une telle laĂŻcitĂ© n’est ni dure ni molle elle correspond Ă  l’affranchissement de la sphĂšre publique par rapport Ă  toute tutelle religieuse ; entre un tel affranchissement et une rĂ©attribution d’emprises publiques Ă  la religion, il n’y a pas de troisiĂšme voie. L’alternative est donc bien affirmation ou nĂ©gation de la laĂŻcitĂ© Pena-Ruiz, 2001, p. 79. 7Cette volontĂ© de sacralisation est sans doute une clef de lecture utile de la loi nÂș 2004-228 du 15 mars 2004 encadrant, en application du principe de laĂŻcitĂ©, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les Ă©coles, collĂšges et lycĂ©es publics. 8L’article 1 de cette loi stipule Il est insĂ©rĂ©, dans le code de l’éducation, aprĂšs l’article L. 141-5, un article L. 141-5-1 ainsi rĂ©digĂ© Art. L. 141-5-1. - Dans les Ă©coles, les collĂšges et les lycĂ©es publics, le port de signes ou tenues par lesquels les Ă©lĂšves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. Le rĂšglement intĂ©rieur rappelle que la mise en Ɠuvre d’une procĂ©dure disciplinaire est prĂ©cĂ©dĂ©e d’un dialogue avec l’élĂšve ». 9Alors que le principe de stricte neutralitĂ© religieuse, politique, commerciale s’applique aux agents du service public, afin de respecter une entiĂšre Ă©galitĂ© entre tous les habitants de la France », cette loi applique cette neutralitĂ© aux Ă©lĂšves Ă©galement. Une seule fois auparavant, sous le gouvernement de LĂ©on Blum formĂ© en 1936, une circulaire du ministre Jean Zay, dans le contexte d’affrontements violents entre lycĂ©ens appartenant aux ligues factieuses et aux partis du front populaire, avait recommandĂ© une stricte neutralitĂ© politique aux Ă©lĂšves. Il est frappant de constater, d’autre part, que la loi du 15 mars 2004 n’a retenu qu’une seule des propositions de la commission Stasi chargĂ©e par le prĂ©sident de la RĂ©publique de contribuer Ă  son Ă©laboration. On se souvient que le rapport remis au prĂ©sident de la RĂ©publique le 11 dĂ©cembre 2003 en comportait bien d’autres, comme, par exemple, faire des fĂȘtes religieuses de Kippour et de l’AĂŻd el Kebir des jours fĂ©riĂ©s dans toutes les Ă©coles de la RĂ©publique ». Ce choix exclusif d’interdire aux Ă©lĂšves la manifestation ostensible d’une appartenance religieuse, interdiction qui vise implicitement le port d’un voile par des Ă©lĂšves de confession musulmane, d’un turban par des Ă©lĂšves sikhs ou d’une kippa par des Ă©lĂšves de confession juive, ne renforce-t-il pas la lecture de cette loi comme procĂ©dant d’une interprĂ©tation religieuse de la laĂŻcitĂ© ? 10En mars 2011, le ministre de l’Éducation nationale a formulĂ© le souhait de voir ce principe appliquĂ© Ă©galement aux parents encadrant des sorties scolaires Il me semble nĂ©cessaire de rappeler que les parents qui accompagnent des Ă©lĂšves, inscrits dans une Ă©cole ou un Ă©tablissement scolaire publics, au cours d’activitĂ©s ou de sorties scolaires, participent ce faisant Ă  l’action Ă©ducative et plus gĂ©nĂ©ralement au service public de l’éducation. En faisant acte de candidature, ils sont amenĂ©s Ă  participer directement au service public de l’éducation en se plaçant dans une situation comparable Ă  celle des agents publics vis-Ă -vis des enfants qu’ils encadrent et acceptent donc de se soumettre aux principes fondamentaux de ce service public. 11On peut lĂ©gitimement s’interroger, en tant qu’enseignant, personnel d’éducation ou de direction, sur le sens d’une telle mise en Ɠuvre du principe de laĂŻcitĂ©. À Ă©couter certains raisonner par analogie – quand on rentre dans une mosquĂ©e, on doit enlever ses chaussures. De mĂȘme, quand une Ă©lĂšve rentre dans une classe, elle doit enlever son foulard » –, il semble bien que l’on assiste Ă  une paradoxale sacralisation de la laĂŻcitĂ©. Cette sacralisation est-elle compatible avec l’ambition du service public d’éducation d’ĂȘtre hospitalier Ă  tous les enfants et ne risque-t-elle pas, comme le redoutait Condorcet, de repousser les enfants d’une partie des citoyens » Condorcet, 1792 ? Ne pourrait-on pas s’interroger sur la nĂ©cessitĂ© de laĂŻciser la laĂŻcitĂ© ? II. IdentitĂ© nationale et christianisation de la laĂŻcitĂ© ? 12Le thĂšme de l’identitĂ© nationale a traversĂ© l’actuel quinquennat du prĂ©sident de la RĂ©publique. Le discours que ce dernier a prononcĂ© au Puy-en-Velay en mars 2011 Ă©claire nettement son point de vue. Saluant un formidable viaduc spirituel lancĂ© vers le Ciel », il affirme Chartres, Amiens, Reims, Strasbourg, Paris, aucune de ces villes ne serait aujourd’hui ce qu’elle est aux yeux des Français et aux yeux du reste du monde sans ces cathĂ©drales vers lesquelles convergent toujours fidĂšles et touristes [
]. En disant cela, je ne fais que rappeler une Ă©vidence l’apport de la chrĂ©tientĂ© Ă  notre civilisation [
]. La chrĂ©tientĂ© nous a laissĂ© un magnifique hĂ©ritage de civilisation et de culture [
]. Je ne fais pas de prosĂ©lytisme, je regarde simplement l’Histoire de notre pays [
]. Ce baptistĂšre serait donc l’exact contemporain du sacre de Clovis et donc de la naissance de la France. Ce n’est pas rien ! [
] Construire l’Europe de demain, c’est au fond continuer Ă  suivre le chemin tracĂ© il y a plus de mille ans par les premiers pĂšlerins de Saint-Jacques de Compostelle. N’étaient-ils pas les premiers europĂ©ens, ces pĂšlerins-lĂ  ? [
] Ils ne parlaient pas la mĂȘme langue mais il partageaient la mĂȘme foi ou en tout cas la mĂȘme espĂ©rance [
]. 13Et il conclut J’étais venu vous dire que la France a une identitĂ© dont elle peut ĂȘtre fiĂšre, mais ici, au Puy-en-Velay, peut ĂȘtre plus qu’ailleurs, il est Ă©vident que la France a aussi une Ăąme. 1 Et non la Haute AutoritĂ© de lutte contre les discriminations et pour l’égalitĂ© HALDE – note du rĂ© ... 14Ces propos trouvent leur prĂ©figuration dans le rapport remis par le vice-prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale, François Baroin, en mai 2003, au Premier ministre Pour une nouvelle laĂŻcitĂ©. L’auteur y promeut une laĂŻcitĂ© culturelle et identitaire », en observant que la laĂŻcitĂ© est questionnĂ©e et contestĂ©e », Ă©crit-il, en particulier dans le monde musulman » et par certaines populations immigrĂ©es, qui, issues d’une culture non laĂŻque et non dĂ©mocratique, ne perçoivent pas le sens de ce principe ».Comme le remarque Jean BaubĂ©rot dans une tribune parue dans LibĂ©ration le 29 mars 2011, depuis 2007, c’est le haut Conseil Ă  l’intĂ©gration HCI1 qui fait des propositions sur la laĂŻcitĂ©. Cette derniĂšre se rĂ©duit Ă  ĂȘtre un passeport que de “nouveaux Français” devraient acquĂ©rir pour revĂȘtir l’identitĂ© française. Les questions qui concernent l’ensemble des Français sont exfiltrĂ©es de la laĂŻcitĂ© » BaubĂ©rot, 2011. Il note Ă©galement que, dans le discours du Puy-en-Velay, le PrĂ©sident affirme qu’ il est dangereux d’amputer sa mĂ©moire », alors que le passĂ© national qu’il invoque fait silence sur les croisades, les guerres de religions, la rĂ©vocation de l’Édit de Nantes, l’esclavage, la sujĂ©tion des musulmans dans l’empire colonial. L’identitĂ© nationale promue dans le discours du Puy serait donc pour Jean BaubĂ©rot une identitĂ© patrimoniale non conflictuelle imaginaire » BaubĂ©rot, 2011. 15Le lien Ă©tabli entre laĂŻcitĂ© et identitĂ© nationale fortement marquĂ©e par l’apport de la chrĂ©tientĂ© l’ñme de la France » se traduit par la persĂ©vĂ©rance Ă  lĂ©gifĂ©rer ou rĂ©glementer au nom de la laĂŻcitĂ© en visant l’éradication de l’école, des services publics, voire de l’espace public de signes d’appartenance religieuse – et en se prĂ©occupant principalement d’une religion. Cela ne constitue-t-il pas une sorte de renversement du principe de laĂŻcitĂ©, principe politique Ă©tabli pour bannir toute discrimination pour raison religieuse notamment ?Cette laĂŻcitĂ© de contrainte exercĂ©e Ă  l’égard d’une partie de la population n’aboutirait-elle pas Ă  renforcer des rĂ©actions que nous observons chez certains de nos Ă©lĂšves français par leur Ă©tat civil graffiti cĂ©lĂ©brant un autre pays, port de t-shirts affirmant une appartenance nationale autre, opposition dans le discours destinĂ© aux adultes du vous » les Français, Ă  l’identitĂ© nationale bien marquĂ©e par un refus d’hospitalitĂ© Ă  certains Ă  un nous » identitaire de relĂ©gation et de protestation ? 2 Ou encore du programme de terminale L qui inscrit, Ă  partir de la rentrĂ©e 2012, l’étude des famille ... 3 Monsieur le ministre, nous ne pouvons accepter que l’école devienne un lieu de propagande, oĂč l’a ... 16Ces questions se posent d’autant plus que la vigilance d’associations familiales chrĂ©tiennes Ă  l’égard des programmes d’enseignement ne semble pas susciter la mĂȘme rĂ©action de sourcilleuse laĂŻcitĂ©, comme on vient de le voir Ă  l’occasion de la parution du nouveau programme de SVT qui aborde en classe de premiĂšre la thĂ©orie des genres2. Elles dĂ©noncent l’idĂ©ologie du genre au lycĂ©e » comme une attaque en rĂšgle contre la loi morale naturelle, rejetant toute signification anthropologique et Ă©thique Ă  la diffĂ©rence naturelle des sexes3 ». 4 PremiĂšre des dix compĂ©tences Ă  acquĂ©rir par les professeurs, documentalistes, conseillers principau ... 17Dans ces conditions, le moins que l’on puisse dire c’est que chaque enseignant, conseiller principal d’éducation, personnel de direction a lĂ©gitimement de quoi s’interroger sur la maniĂšre d’agir conformĂ©ment au principe de laĂŻcitĂ© dans l’exercice quotidien de ses missions, pendant lequel il est censĂ© mettre en Ɠuvre les valeurs de la RĂ©publique » – en ayant, bien entendu, Ă  cƓur d’ agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable4 ». Cette question est d’autant plus Ă©pineuse qu’elle est pour ainsi dire Ă  double fond, comme si les confusions entourant aujourd’hui le principe de laĂŻcitĂ© confusions dont tout porte Ă  croire qu’elles sont, ici ou lĂ , trĂšs sciemment entretenues, et forment ainsi en elles-mĂȘmes un sujet d’inquiĂ©tude politique mettaient, du mĂȘme coup, violemment Ă  nu l’indigence du cadre » institutionnel censĂ© en guider l’inscription concrĂšte dans les mĂ©tiers de l’éducation et de la formation. C’est cette circularitĂ© dĂ©lĂ©tĂšre qu’on voudrait analyser maintenant. III. Tartuffe technocrate 18 Confusion », disions-nous si le mot nous semble appropriĂ©, c’est dans la mesure oĂč il touche autant Ă  la maniĂšre qu’à la matiĂšre. Les exemples sur lesquels les pages prĂ©cĂ©dentes attirent l’attention ne laissent aucun doute lĂ -dessus c’est au mĂ©pris de la laĂŻcitĂ© qu’on prĂ©tend en cĂ©lĂ©brer les principes – tel celui de la neutralitĂ© de l’État vis-Ă -vis des cultes de tous les cultes. 19Qu’on en juge l’ affaire » des manuels de SVT de la classe de premiĂšre poussant leur conformitĂ© avec les programmes officiels jusqu’à l’audace de mentionner la dimension culturellement construite de l’identitĂ© sexuelle ne s’est pas arrĂȘtĂ©e Ă  la lettre ouverte de Mme Boutin, sommant le ministre de l’Éducation nationale de sauver les adolescents du pays d’une prise d’otages » selon la rhĂ©torique dont raffolent ceux qui n’ont vraisemblablement jamais Ă©tĂ© l’otage de qui que ce soit par des groupes minoritaires » que, pour le coup, on se garde de nommer. De fait, si, selon des dĂ©clarations rapportĂ©es par l’AFP le 31 aoĂ»t 2011, Luc Chatel s’est refusĂ© Ă  demander le retrait des manuels incriminĂ©s par quelque quatre-vingt dĂ©putĂ©s UMP, ceux-ci auront eu au moins la satisfaction de voir Jean-François CopĂ© soutenir publiquement leur cause. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UMP croit en effet savoir que la thĂ©orie du genre, qui selon lui est discutĂ©e par des personnes mais combattue par d’autres », n’est pas une vĂ©ritĂ© scientifique » et qu’à ce titre elle ne devrait pas ĂȘtre enseignĂ©e ». Disons-le on ne gaspillera pas du temps Ă  demander quelle idĂ©e de la science on se fait ici pour que l’interlocution entre sciences humaines, sciences sociales et sciences de la vie soit inconcevable, et pour que dĂ©bats et controverses semblent, contre la tradition mĂȘme de la pensĂ©e scientifique, dĂ©finir le contraire de la science. De toute façon, l’enjeu est ailleurs le recours indigent Ă  un prĂ©tendu arbitrage scientifique masque mal le souci d’adresser, pour user d’un jargon aussi dominant que piteux, un signal fort » Ă  une frange de l’électorat », reprĂ©sentĂ©e par le courant dit de la Droite populaire ». La manƓuvre n’est guĂšre nouvelle mais, en l’occurrence, elle se paye, intellectuellement et moralement, au prix fort le chef de file du parti prĂ©sidentiel et, dans une moindre mesure, le ministre de l’Éducation nationale, qui, s’il a renoncĂ© Ă  interdire, a toutefois tenu Ă  dire sa rĂ©serve », en des termes proches de ceux de M. CopĂ© prend fait et cause, sous couvert de science, pour une dĂ©finition prĂ©tendument naturelle » de l’identitĂ© sexuelle et, par lĂ  mĂȘme, pour une soumission de l’information biologique Ă  une reprĂ©sentation de l’homme et de la sociĂ©tĂ© dont les coordonnĂ©es religieuses n’échappent Ă  personne. 20Bref, comme le rĂ©sume Éric Fassin, l’aile la plus rĂ©actionnaire se fait bien entendre – non seulement dans les dĂ©bats sur la nationalitĂ©, mais aussi en matiĂšre de sexe » Fassin, 2011. En sorte que l’ardeur avec laquelle ces voix se dĂ©fendent de cautionner quelque conviction homophobe est Ă  peu prĂšs aussi convaincante que le pathos avec lequel le prĂ©sident de la RĂ©publique se disait hier, Ă  Latran, le dĂ©fenseur de l’attachement des Français Ă  la laĂŻcitĂ© », et aujourd’hui, au Puy-en-Velay, le garant d’une RĂ©publique qui, mes chers compatriotes [
] appartient [
] Ă  tous les citoyens sans distinction aucune ». 21De l’un Ă  l’autre de ces discours, se confirme l’escroquerie intellectuelle baptisĂ©e laĂŻcitĂ© positive » – et l’on gagne Ă  se rappeler la rĂ©action de Jean-Claude Monod aux glissements opĂ©rĂ©s par le discours prĂ©sidentiel, publiĂ©e dans Le Monde en janvier 2008. Il y rappelait les traits fondamentaux de l’État laĂŻque, dĂ©fini par Ferdinand Buisson, dans l’article LaĂŻcitĂ© » du Dictionnaire de pĂ©dagogie et d’instruction primaire, comme neutre entre tous les cultes, indĂ©pendant de tous les clergĂ©s, dĂ©gagĂ© de toute conception thĂ©ologique » F. Buisson, citĂ© par Monod, 2008. À partir de cette rĂ©fĂ©rence, l’auteur soulignait la duplicitĂ© d’une prĂ©tendue dĂ©fense » de la laĂŻcitĂ© consistant essentiellement Ă  placer, dans le domaine de la transmission des valeurs morales, l’instituteur rĂ©publicain au-dessous du prĂȘtre et Ă  cĂ©lĂ©brer la vertu thĂ©ologale d’espĂ©rance en son acception religieuse, Ă  laquelle il [Nicolas Sarkozy] confĂšre une plus grande valeur qu’aux espĂ©rances sĂ©culiĂšres » Monod, 2008. Si cela caractĂ©rise une laĂŻcitĂ© dĂ©sormais affublĂ©e de l’épithĂšte positive », autant dire que la consistance de celle-ci est, pour emprunter une expression d’Adorno, celle d’un concept mollusque » – et sa fonction purement stratĂ©gique on laisse croire que la conception de la laĂŻcitĂ© historiquement repĂ©rĂ©e par la loi de 1905 serait, vis-Ă -vis des religions, nĂ©gative » entendons hostile, rĂ©pressive, alors que celle-ci, justement, est neutre et presque amicale » au sens oĂč l’entendait Buisson. Posant le principe de l’égale libertĂ© de conscience, elle garantit Ă  toutes les religions le libre exercice du culte en mĂȘme temps qu’elle dĂ©fend le droit de chacun athĂ©e, agnostique, croyant de ne subir nul prosĂ©lytisme, que celui-ci Ă©mane de l’État ou des Églises Monod, 2008. Une fois l’art de la distorsion rĂ©trospective poussĂ© jusqu’à la falsification historique, ne devrait-on pas au moins cesser d’ĂȘtre hypocrite ? Telle Ă©tait, en janvier 2008, la conclusion Ă  laquelle parvenait Jean-Claude Monod et qu’on ne peut relire aujourd’hui sans en saluer, hĂ©las, la dimension prophĂ©tique PlutĂŽt que de prĂ©tendre rĂ©aliser une lĂ©gĂšre inflexion par rapport Ă  la laĂŻcitĂ© rĂ©publicaine de 1905, Ă  laquelle, entre deux piques, on rend un hommage bien formel tout en l’amputant d’un principe fondamental, le prĂ©sident et ses conseillers en la matiĂšre devraient dire franchement qu’ils abandonnent le principe rĂ©publicain de la neutralitĂ© de l’État et de ses reprĂ©sentants, dans la sphĂšre publique, en matiĂšre confessionnelle Monod, 2008. 5 Ibid. 22À la lumiĂšre de ces lignes, la trajectoire qui mĂšne de Latran au Puy-en-Velay prendrait presque des allures de success story l’histoire d’un prĂ©sident qui s’est appliquĂ© Ă  maintenir, et Ă  renforcer, le cap d’une expression dĂ©complexĂ©e » de ses convictions lĂ -dessus, il est vrai, la couleur fut maintes fois annoncĂ©e – La Princesse de ClĂšves en fit mĂȘme deux fois les frais, avant et aprĂšs l’élection de son contempteur. LĂ  oĂč celles-ci touchent Ă  sa foi religieuse catholique, en l’occurrence, elles lui paraissaient dĂ©jĂ , en 2007, assez indiscutables pour mĂ©riter un rĂ©gime de faveur saluant alors la rĂ©cente loi de 2004 interdisant aux Ă©lĂšves le port de signes religieux ostensibles Ă  l’école publique dite, par un raccourci Ă©loquent, loi sur le voile », Nicolas Sarkozy ne ressentait, pour autant, nul embarras Ă  manifester ostensiblement sa foi catholique dans un discours public », et ainsi Ă  suggĂ©rer qu’une telle manifestation n’est pas incompatible avec la laĂŻcitĂ© lorsqu’il s’agit du catholicisme du prĂ©sident, du moins, tandis qu’elle est inacceptable pour l’islam des lycĂ©ennes5 » Monod, 2008. En 2011, un dĂ©bat sur la nationalitĂ© plus tard, on est indubitablement passĂ© Ă  la vitesse supĂ©rieure la foi du PrĂ©sident ne se contente plus de signaler l’excellence supposĂ©e d’un individu, elle exprime l’ñme » mĂȘme du pays, d’une France Ă  laquelle participent, plus authentiquement que les autres citoyens, et au Puy-en-Velay plus qu’ailleurs », ceux qui inscrivent leurs pas dans ceux des pĂšlerins de Saint-Jacques de Compostelle ». VoilĂ  de quoi liquider le principe de la libertĂ© de conscience, condition de possibilitĂ© de l’espĂ©rance trĂšs sĂ©culiĂšre en l’établissement d’un monde commun celui qu’ont en partage, comme le rappelle l’étymologie du terme laĂŻcitĂ© », les membres du laos – en grec, le peuple considĂ©rĂ© dans sa plus grande extension, formant le but du gouvernement dĂ©mocratique pour le peuple » quand bien mĂȘme les acteurs du gouvernement par le peuple » forment le groupe restreint du demos. Sans doute l’histoire des formes de cette restriction est-elle celle d’une privatisation » de la sphĂšre publique par des groupes ou castes dĂ©terminĂ©s – en sorte que la dĂ©mocratie menace sans cesse de n’exister que sous la forme d’ États de droit oligarchiques », pour reprendre une formule de Jacques RanciĂšre 2005, p. 81 sq.. C’est justement pourquoi la laĂŻcitĂ©, pour autant que s’y attache la question d’une rĂ©conciliation du laos et du demos, comporte une affinitĂ© Ă©lective avec l’utopie l’espoir dans la possibilitĂ© d’un universel » qui, affranchi tant de l’indiffĂ©rence aux diffĂ©rences » que de l’hypostase d’une diffĂ©rence et donc d’une identitĂ© particuliĂšre, s’accomplirait dans la conjonction des diffĂ©rences » Adorno, 1970, posth., p. 263. C’est bien d’un tel espoir que, en effaçant la complexitĂ© du rapport de la France Ă  son hĂ©ritage chrĂ©tien pour trouver dans celui-ci l’instrument d’une dĂ©finition essentialiste du Français », on opĂšre brutalement la nĂ©gation – dans un tel contexte, l’expression identitĂ© nationale » ne dit rien d’autre. Comment s’étonner, dĂšs lors, qu’aujourd’hui une reprĂ©sentante patentĂ©e de l’extrĂȘme droite ne manque nulle occasion de poser en Jeanne d’Arc de la laĂŻcitĂ© ?Sans doute n’est-ce pas lĂ  la moindre des raisons pour lesquelles le libellĂ© de la premiĂšre des dix compĂ©tences Ă  acquĂ©rir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation pour l’exercice de leur mĂ©tier » puisse paraĂźtre, aux yeux des concernĂ©s, au mieux futile, au pire cynique. Avant mĂȘme la distribution, en connaissances », capacitĂ©s » et attitudes », de contenus » dont la pleine maĂźtrise semble dĂ©finir, au-delĂ  du seul alignement europĂ©en des rĂ©fĂ©rentiels », quelque chose comme le nouvel idĂ©al du moi de l’enseignant du XXIe siĂšcle, le texte introductif, Ă©grenant une litanie de qualitĂ©s qui, ainsi aplaties par les constructions au prĂ©sent de l’indicatif, n’en sont mĂȘme plus, offre d’emblĂ©e quelques occasions de rire jaune. Ainsi Il [le professeur / le documentaliste / conseiller principal d’éducation] connaĂźt et fait respecter les principes de la laĂŻcitĂ©, notamment la neutralitĂ© ». Le lecteur a encore suffisamment en tĂȘte le parcours restituĂ© ci-dessus – de Latran au Puy-en-Velay, en passant par les bureaux respectifs du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UMP et du ministre de l’Éducation nationale – pour que la citation de cette phrase se passe de longs commentaires. L’enseignant-modĂšle de l’arrĂȘtĂ© de 2010 est soumis au mĂȘme rĂ©gime que les jeunes filles musulmanes dans le discours de 2007 du prĂ©sident de la RĂ©publique le rĂ©gime du cela vaut pour vous, pas pour moi » – voilĂ  tout. 6 Il y aurait certes Ă  critiquer de façon dĂ©taillĂ©e l’emploi de ce terme, si lĂąche et irrĂ©flĂ©chi qu’i ... 7 Parmi les nombreuses Ă©ditions de ce texte, on peut se reporter Ă  la reproduction qui figure dans l’ ... 23En revanche, qu’on nous permette de mobiliser ici le souvenir d’une expĂ©rience de formation, qui nous semble de nature Ă  prolonger l’analyse. L’anecdote – qui pourrait donc ĂȘtre un peu plus que cela – se situe dans le cadre suivant les cours rendus nĂ©cessaires par l’introduction, dans les concours de recrutement des enseignants, documentalistes et CPE, d’une Ă©preuve relative, lors des oraux d’admission, Ă  cette fameuse premiĂšre compĂ©tence6 » la compĂ©tence Ă©thique », selon la contraction qui s’impose couramment. S’efforçant d’en produire autant que possible une intelligence critique, au moyen notamment d’une mise en perspective philosophique et historique, on a pu, entre autres matĂ©riaux, proposer aux Ă©tudiants des extraits significatifs de la circulaire adressĂ©e aux instituteurs, le 17 novembre 1883, par Jules Ferry, alors ministre de l’Instruction publique – circulaire rendue fameuse sous la dĂ©signation de Lettre aux instituteurs ». Sans doute l’importance de ce texte tient-elle aux tensions qui le traversent celles-lĂ  mĂȘmes auxquelles les instituteurs se trouvent confrontĂ©s depuis que la loi du 28 mars 1882 leur a enjoint de dispenser un enseignement moral et civique » en Ă©vitant cependant de tomber, ce faisant, dans l’enseignement de tout dogme particulier ». Comment faire ? Comment, autrement dit, concevoir et, surtout, mettre en pratique une instruction morale laĂŻque – sĂ©parĂ©e de l’instruction religieuse et ayant sa valeur propre ? Tel est le point sur lequel Jules Ferry vient s’adresser non pas mĂȘme, comme le suggĂšre la formule passĂ©e Ă  la postĂ©ritĂ©, aux instituteurs », mais bien Ă  chaque instituteur Monsieur l’Instituteur [
] » afin de dire pourquoi, selon lui, la tĂąche n’est ni au-dessus de vos forces ni au-dessous de votre estime7 ». Or, des propositions avancĂ©es Ă  cette fin par Jules Ferry, celles formant le passage peut-ĂȘtre le plus cĂ©lĂšbre de la lettre suscitent trĂšs souvent un fort intĂ©rĂȘt de la part des Ă©tudiants. Ces lignes proposent, selon les termes de Jules Ferry, une rĂšgle pratique », et il faut prendre l’expression Ă  la lettre ni simple rappel d’un principe, ni invitation aux accommodements empiriques, mais bien la recherche d’une articulation entre, pour le dire vite, la thĂ©orie et la pratique, la nĂ©cessaire rĂ©fĂ©rence Ă  une normativitĂ© et, au-delĂ , Ă  un ordre de valeurs et la prise en compte, non moins nĂ©cessaire, des conditions, inĂ©vitablement changeantes et singuliĂšres, de l’action. Le rĂ©sultat prend la forme d’une maxime prudentielle, invitant l’enseignant Ă  choisir les propos qu’il s’apprĂȘte Ă  tenir devant ses Ă©lĂšves en fonction du souci de ne pas heurter les convictions de leurs familles. Lisant aujourd’hui, donc, ces recommandations-lĂ , quelle est la rĂ©action, frĂ©quemment enregistrĂ©e, des Ă©tudiants ? Elle consiste Ă  dire, en substance, qu’un tel propos est beaucoup plus proche d’eux, bien plus audible, bien plus pertinent que la somme d’énumĂ©rations proposĂ©es dans l’en-tĂȘte, puis dans les listes de connaissances, capacitĂ©s, attitudes composant aujourd’hui l’énoncĂ© de la premiĂšre compĂ©tence » des professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation. 8 Lors de la derniĂšre rentrĂ©e scolaire, le ministre de l’Éducation nationale s’en serait voulu de rat ... 9 Voir, Ă  ce propos, les prĂ©cisions donnĂ©es ici mĂȘme par Yves Verneuil dans son article L’école e ... 10 Voir sur ce point, dans le prĂ©sent volume, l’entretien avec François Dubet. 24Qu’on nous comprenne bien il n’est nullement question, ici, de faire entendre la rengaine du c’était mieux avant » – expression d’un nĂ©o-rĂ©publicanisme » douteux, toujours prĂȘt Ă  fournir la rhĂ©torique moraliste8 dont raffolent ceux qui, dans le mĂȘme temps, ne dĂ©daignent pas d’aligner l’école des compĂ©tences » sur le modĂšle d’une compĂ©tition brutale entre les individus – vae victis. Il ne s’agit pas non plus de disqualifier, unilatĂ©ralement, les contenus rangĂ©s aujourd’hui sous la rubrique Agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable ». Il n’y a, aprĂšs tout, rien de condamnable Ă  rappeler qu’un professeur doit connaĂźtre, par exemple les valeurs de la RĂ©publique et les textes qui les fondent » – mais cela ne dĂ©signe-t-il pas une exigence s’imposant en fin de compte Ă  tout citoyen mĂȘme, on est gĂȘnĂ© de se sentir obligĂ© de le rappeler, au vu d’évĂ©nements Ă©voquĂ©s ci-dessus, Ă  celui d’entre eux qui se trouve en charge des plus hautes fonctions de l’État ? Inversement, on n’aura pas l’ingĂ©nuitĂ© d’ignorer les profondes ambivalences qui traversent le texte de Jules Ferry, et qui pour une part communiquent avec les aspects idĂ©ologiques les plus douteux de la IIIe RĂ©publique certes, Ferry assure aux destinataires de sa lettre qu’ils ne sont point les apĂŽtres d’un nouvel Ă©vangile » – mais quand mĂȘme », ne peut s’empĂȘcher de murmurer le lecteur d’aujourd’hui, tant l’usage de la prĂ©tĂ©rition crible le texte d’emprunts au lexique religieux thĂ©ologien », mission », apostolat », etc. ; surtout, la relative facilitĂ© avec laquelle, selon l’auteur, l’enseignant saura, en fin de compte, puiser dans les ressources d’une morale consensuelle, la bonne et antique morale de nos pĂšres », expression, tout compte fait, de la sagesse du genre humain », recueil de ces idĂ©es d’ordre universel », trahissent Ă©videmment une sorte de foi dans quelque chose comme un universel facile, peu enclin Ă  rĂ©flĂ©chir sur la particularitĂ© de sa genĂšse historique, et assez ignorant de ses taches aveugles pour justifier, dans l’esprit du mĂȘme Jules Ferry, l’exportation coloniale de la civilisation ».Il reste pourtant que, encore nĂ©gativement obnubilĂ© par la figure clĂ©ricale du maĂźtre, l’auteur de la circulaire de novembre 1883 n’y cherche pas moins Ă  dĂ©gager les traits fondamentaux, et la lĂ©gitimitĂ© propre, de l’enseignant dans une Ă©cole publique laĂŻque. La neutralitĂ© de celui-ci procĂšdera donc justement, et d’abord, d’une neutralisation de la recherche des positions hiĂ©rarchiques au sein d’un improbable palmarĂšs spirituel – celui-lĂ  mĂȘme que, quelque cent vingt-cinq ans plus tard, un croyant dĂ©complexĂ© » devenu prĂ©sident de la RĂ©publique se pique de remettre au goĂ»t du jour. Il reste, Ă©galement, que, si idĂ©alisĂ©e soit-elle, la rĂ©fĂ©rence Ă  une morale universelle » a guidĂ©, et contribuĂ© Ă  rendre effective certes non sans conflits, dĂ©fiances ou anathĂšmes lancĂ©s de part et d’autre9 cette prudente neutralitĂ© laĂŻque qu’attendaient de l’École des consciences athĂ©es, agnostiques ou mĂȘme croyantes – mais, pour autant, pas moins mĂ©fiantes envers le prosĂ©lytisme de l’Église10. 11 Ou encore l’annexe du BOEN nÂș 29 du 22 juillet 2010. 25Par lĂ  s’entrevoit l’une des principales raisons de l’intĂ©rĂȘt que les Ă©tudiants portent Ă  cette lettre elle tient Ă  la liaison Ă©troite de la forme et du fond. Entendons prĂ©cisĂ©ment parce que non sans ambivalences, non sans de lourds prĂ©supposĂ©s idĂ©ologiques, au nombre desquels figurent en bonne place, outre ceux dĂ©jĂ  mentionnĂ©s, les rapports de genre le principe de neutralitĂ© de l’enseignant est ici dĂ©gagĂ© en rĂ©ponse aux inquiĂ©tudes nourries par Monsieur l’instituteur », il est, et doit ĂȘtre, adressĂ© Ă  un sujet. VoilĂ  ce que peuvent se dire, aujourd’hui, ceux qui, personnels d’éducation ou Ă©tudiants, et comme tels visĂ©s par le rĂ©fĂ©rentiel des dix compĂ©tences », ont l’occasion de placer celui-ci en face de la lettre de Jules Ferry du 17 novembre 1883. Pour peu qu’ils aient l’occasion d’y faire halte quelques instants et d’en apprĂ©hender le contenu, les Ă©tudiants deviennent, Ă  leur tour, destinataires intempestifs de cette lettre. La postĂ©ritĂ©, pour le coup, ne s’y est pas trompĂ©e ; cette circulaire mĂ©ritait bien le nom de lettre », dĂ©signation de ce qui s’y agitait vraiment une parole qui, en dĂ©pit de ses dĂ©fauts, mais peut-ĂȘtre aussi en vertu de ceux-ci, dĂ©livre, comme dans une bouteille jetĂ©e Ă  la mer, un message qui demande encore Ă  ĂȘtre lu et interprĂ©tĂ© – quand, inversement, l’arrĂȘtĂ© de mai 2010 11 portant dĂ©finition des dix compĂ©tences que doivent acquĂ©rir, etc. » saura bien se contenter de sa dĂ©nomination administrative prĂ©cisĂ©ment parce qu’il ne s’adresse Ă  personne. IV. Épilogue 2004-2011 – et aprĂšs ? 12 Voir Ă©galement, dans l’entretien citĂ© Ă  la note 10, les mises au point de François Dubet sur ces qu ... 26C’est ce que l’on appelle couramment un comble un texte qui, sans dĂ©daigner l’emphase, proclame dans son intitulĂ© l’injonction faite au fonctionnaire d’État de se conduire en sujet Ă©thique et pour qui les sujets ou, pour le dire en termes plus sociologiques, les acteurs n’existent pas – sinon comme des ĂȘtres de papier. Car il n’y a ici que l’enseignant gĂ©nĂ©rique » – qui connaĂźt » en vrac et de maniĂšre non exhaustive les valeurs de la RĂ©publique, les mĂ©canismes Ă©conomiques, la politique Ă©ducative de la France
 ; qui est capable » de se situer dans la hiĂ©rarchie de l’institution scolaire, de participer Ă  la vie de l’école ou de l’établissement, etc. ; ou encore que son souci d’ agir de maniĂšre Ă©thique et responsable conduit Ă  », par exemple, respecter les Ă©lĂšves et leurs parents ». Louable rappel, dont la crĂ©dibilitĂ© se heurte cependant au fait que, dans le mĂȘme temps, ces Ă©lĂšves » et ces parents » ne sont tolĂ©rĂ©s, eux aussi, que comme de pures abstractions. Le pĂšre de famille » dont Jules Ferry pensait, non sans naĂŻvetĂ© ou calcul, que, dans sa classe, l’instituteur Ă©tait le supplĂ©ant », faisait probablement davantage l’objet de considĂ©ration se soucier de ne pas choquer ses convictions enveloppait nĂ©cessairement l’idĂ©e de sa singularitĂ© quand bien mĂȘme on ne doutait pas que celle-ci fĂ»t soluble sans reste dans une morale opportunĂ©ment universelle ». Et sans doute est-ce par lĂ  que le discours de Jules Ferry reste tournĂ© vers nous c’est prĂ©cisĂ©ment parce que l’univocitĂ© supposĂ©e, voire rĂȘvĂ©e du pĂšre de famille » a laissĂ© place Ă  l’irrĂ©ductible diversitĂ© des familles que l’invitation au tact formulĂ©e en 1883 gagne aujourd’hui une actualitĂ© d’autant plus forte qu’elle est celle de la complexitĂ© d’une sociĂ©tĂ© pluriculturelle – mais aussi d’une sociĂ©tĂ© concurrentielle, au sein de laquelle l’école a acquis un poids extraordinaire dans le destin des individus. Tous les parents le savent, sans doute, mais tous ne savent pas comment dire aux enseignants les espoirs qu’ils placent dans l’école – mĂȘme, et peut-ĂȘtre surtout, lorsque leurs enfants, pour des raisons multiples, revendiquent sur un mode ethnicisĂ© » ou racialisĂ© » l’expĂ©rience nĂ©gative qu’ils font de l’univers scolaire et, au-delĂ , du monde social en gĂ©nĂ©ral c’est-Ă -dire, aussi, d’eux-mĂȘmes, jusqu’à produire, Ă  l’avenant, des anathĂšmes, des stigmatisations, voire des violences inadmissibles au regard du projet d’institution d’un monde commun12. Quoi qu’il en soit, ce que savent les enseignants, et ce qu’attestent les inventions, prĂ©caires mais essentielles, dont ils font montre au quotidien notamment dans le domaine de la relation famille / Ă©cole, c’est que rien n’est possible si, quel que soit le respect » dĂ©clarĂ©, on considĂšre l’autre comme l’échantillon reprĂ©sentatif d’une culture » ou d’une communautĂ© » supposĂ©es uniformes, au lieu de s’adresser Ă  un individu. Autrement dit au lieu de dĂ©fendre le droit, pour chacun, de ne pas se laisser dĂ©finir par ses origines, le droit de ne pas coĂŻncider avec la somme des dĂ©terminations familiales, culturelles, sociales dans lesquelles il est d’abord nĂ©cessairement pris. N’est-ce pas lĂ  prĂ©cisĂ©ment la signification majeure de la libertĂ© de conscience – et par lĂ  du principe mĂȘme de laĂŻcitĂ© ? 13 Qu’on pense par exemple Ă  des textes importants de Catherine Kintzler, comme La RĂ©publique en quest ... 14 En opposition, d’ailleurs, aux avis rendus par la cour de cassation. Le cycle jurisprudentiel des a ... 15 À vrai dire, la rĂ©ponse Ă  une telle question engage une prise de position quant aux ambivalences du ... 16 Comme l’a bien rappelĂ© Jean BaubĂ©rot Une scolaritĂ© plus longue, un Ăąge de mariage plus tardif, ... 27C’est mĂȘme lĂ , au vrai, que rĂ©side un des arguments les plus forts de ceux qui, dĂšs les annĂ©es 1990, soulignant que les mineurs ne sont pas encore en pleine possession des aptitudes intellectuelles et psychologiques nĂ©cessaires Ă  l’exercice du libre examen13, ont Ă©tĂ© partisans d’une interdiction stricte du port de signes religieux Ă  l’école14. Certes, aprĂšs que, en 2004, une loi a statuĂ© en ce sens, faisant ainsi porter l’interdiction non plus seulement sur le port ostentatoire de signes religieux comme le prĂ©conisait la circulaire Bayrou du 20 septembre 1994 mais sur le port de signes religieux ostensibles, la contradiction guettant cette argumentation apparaĂźt nĂ©cessairement c’est que, comme l’écrit Jean-Claude Monod, est prĂŽnĂ©e, en derniĂšre instance, l’exclusion, hors de ce lieu d’émancipation [l’école publique], des mineurs qu’il s’agirait d’émanciper » Monod, 2007, p. 131. La contradiction touche bien Ă  la chose mĂȘme » l’attachement, constitutif de la laĂŻcitĂ©, Ă  l’autonomie du sujet. Que les conditions intellectuelles, psychologiques, voire morales de celle-ci ne soient encore qu’ébauchĂ©es chez les individus mineurs, on l’admettra aisĂ©ment. Mais cela mĂȘme suppose qu’il existe dĂ©jĂ  quelque chose comme un sujet capable de recevoir les contenus qui prĂ©cisĂ©ment doivent lui permettre de former de telles aptitudes – et par lĂ  de transformer le regard qu’il porte sur les conduites, pratiques et convictions dont il a d’abord hĂ©ritĂ©. Or c’est bien, en fin de compte, la possibilitĂ© d’une telle dynamique, certes nullement garantie ni quant Ă  son dĂ©clenchement, ni quant Ă  son issue dĂ©crĂšte-t-on l’ Ă©mancipation » d’autrui15 ? qu’efface le glissement du curseur, en matiĂšre d’interdiction, de l’ostentatoire Ă  l’ostensible. Jean BaubĂ©rot, membre de la commission Stasi, a bien relevĂ© ce point lorsqu’il s’est expliquĂ© sur son refus de voter la proposition qui devait devenir le contenu essentiel de la loi du 15 mars 2004 interdire, sous peine d’exclusion, le port de signes religieux ostensibles Ă  l’école, c’est en rĂ©alitĂ© fixer a priori leur sens, et du mĂȘme coup nier la pluralitĂ© de significations dont les porteurs » sont susceptibles de les investir. Ostensible », un signe religieux ne sera donc jamais, Ă  la lettre, inoffensif, mais signifiera toujours l’intention d’offenser – mais si la volontĂ© de montrer un signe en vue de provoquer, voire de nuire Ă  autrui est ainsi littĂ©ralement prĂ©-jugĂ©e, quelle consistance une distinction comme celle de l’ostensible et de l’ostentatoire peut-elle encore dĂ©tenir ? Qu’est-ce donc que cette volontĂ© de personne ? À cet Ă©gard, le fait que la loi encadrant le port des signes religieux Ă  l’école ait Ă©tĂ© si rapidement connue sous le nom de loi sur le voile » dĂ©livre sa troublante vĂ©ritĂ© les jeunes filles musulmanes, qu’on dit tant vouloir Ă©manciper, ne sauraient ĂȘtre des sujets et dans ce prĂ©supposĂ© se rĂ©pĂšte la logique mĂȘme de la domination, en particulier de la domination masculine, qu’on prĂ©tend combattre. Elles sont, semble-t-il, destinĂ©es Ă  ĂȘtre moins au fait des intentions » qu’elles attachent ou non Ă  leur maniĂšre de se vĂȘtir que, manifestement ostensiblement ?, le sont ceux qui savent fixer une fois pour toutes la signification de leur tenue. En fin de compte, les voilĂ  dĂ©finies par cette raretĂ© un signe clos sur lui-mĂȘme, dont le sens ne s’établit guĂšre par le rapport avec d’autres signes – c’est-Ă -dire des attitudes, des comportements, bref, des interactions infiniment diverses dans le jeu desquelles il nous semble quand mĂȘme un peu tĂ©mĂ©raire ou malhonnĂȘte de ne pas lire aussi des signes » d’émancipation16. 28Aussi, et non pas, certes, seulement l’angĂ©lisme n’est pas de mise, et il n’est nullement question d’admettre que, portant ou non, d’ailleurs, des signes religieux ostensibles », des Ă©lĂšves, au nom de leurs convictions et, soit dit en passant, pourquoi ne pas avoir Ă©galement lĂ©gifĂ©rĂ© sur le port ostensible de signes non religieux ?, enfreignent les rĂšglements intĂ©rieurs des Ă©coles ou des Ă©tablissements, violentent moralement ou physiquement des camarades, voire des personnels, ou encore refusent de suivre certains enseignements. Notre propos est autrement prudent il ne vise qu’à Ă©tablir les coordonnĂ©es conceptuelles d’un problĂšme, tel qu’il commande, par excellence, le sens et la fonction que la loi de 2004 accorde Ă  une mise en Ɠuvre [qui] passe d’abord par le dialogue » circulaire du 18 mai 2004 relative Ă  la mise en Ɠuvre de la loi nÂș 2004-228 du 15 mars 2004, section III. Ce problĂšme, on peut tenter de le formuler en ces termes si le texte prĂ©cise que l’exclusion ne doit avoir lieu qu’en dernier recours, et par consĂ©quent prĂ©conise le dialogue avec l’élĂšve, il verrouille nĂ©cessairement l’objet de ce dialogue mĂȘme. Car l’échange ne se dĂ©roulera jamais que sur le fond d’un prĂ©supposĂ© indiscutable la signification du signe religieux ostensible » est le prosĂ©lytisme ; on cherchera donc Ă  convaincre avec pĂ©dagogie », en sollicitant la mĂ©diation de l’équipe pĂ©dagogique ou Ă©ducative, etc. l’élĂšve de retirer le signe incriminĂ© – mais jamais Ă  discuter du sens que, dans l’espace de ses interactions avec les Ă©lĂšves et adultes qui l’entourent, il ou elle lui est cependant remarquable – et c’est pourquoi il s’agit rigoureusement, ici, d’un problĂšme – que le texte de cette mĂȘme loi de 2004 signale par endroits des rĂ©serves quant Ă  sa propre logique comme en tĂ©moignent aussi, du reste, les prĂ©conisations du rapport Stasi qui n’ont finalement pas Ă©tĂ© retenues. Si le terme ostensible » possĂšde encore un minimum de sens, alors il s’oppose Ă  discret ». Mais l’opposition entre signes ostensibles et signes discrets Ă  laquelle il faut alors faire droit de maniĂšre plus ou moins explicite trahit prĂ©cisĂ©ment le fait qu’il Ă©tait impossible de dissimuler tout Ă  fait le coup de force sĂ©mantique par lequel on a identifiĂ© l’ostensible Ă  l’ostentatoire. Car l’ostentation n’a en fin de compte de sens qu’à traduire la maniĂšre dont un individu choisit non pas seulement une tenue, mais se choisit lui-mĂȘme dans le rĂ©seau de ses conduites – lesquelles sont en effet susceptibles de confĂ©rer Ă  son apparence vestimentaire telle ou telle signification. Comment, dĂšs lors, ne pas accorder que, mĂȘme discret, un signe religieux et, encore une fois, pourquoi seulement religieux » ?, peut se rĂ©vĂ©ler, selon la maniĂšre dont l’individu s’y rapporte, dĂ©rangeant ? Quand vient le moment de dĂ©crire prĂ©cisĂ©ment le Champ d’application de la loi », c’est bien ce que la rĂ©daction, quelque peu contournĂ©e, enregistre de façon symptomale La loi ne remet pas en cause le droit des Ă©lĂšves de porter des signes religieux discrets. [
] En revanche, la loi interdit Ă  un Ă©lĂšve de se prĂ©valoir du caractĂšre religieux qu’il y attacherait, par exemple, pour refuser de se conformer aux rĂšgles applicables Ă  la tenue des Ă©lĂšves dans l’établissement circulaire du 18 mai 2004, section II, § 17 C’est lĂ  un point que Jean-Claude Monod a trĂšs prĂ©cisĂ©ment cernĂ© La dĂ©cision d’interdire les “s ... 29De maniĂšre analogue, le texte admettait que les intervenants occasionnels dont, bien entendu, les parents ne soient pas soumis Ă  l’interdiction du port de tout signe religieux, mĂȘme discret, qui s’impose aux agents du service public d’éducation. Si problĂšme » il y a, donc, dans ce texte, si la rĂ©daction de celui-ci fait parfois symptĂŽme », cela reste prĂ©cisĂ©ment Ă  mettre Ă  son crĂ©dit la persistance de l’ambiguĂŻtĂ© est la trace de l’attention que, des dĂ©bats menĂ©s au sein de la commission Stasi jusqu’à l’élaboration de la loi, on prĂȘta malgrĂ© tout Ă  la complexitĂ© des choses17. ConsidĂ©rĂ©e dans cette perspective, la lĂ©gislation de 2004 fournit un repĂšre Ă  partir duquel on peut faire apparaĂźtre le sens des Ă©volutions qui ont eu lieu jusqu’aujourd’hui. Dire que ce sens est celui d’un abaissement intellectuel n’est pas trop fort. 30Expliquons-nous. Pour autant que l’on puisse s’approprier de maniĂšre fĂ©conde un intitulĂ© comme Agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable », c’est dans la mesure oĂč l’on identifiera, dans la rĂ©pĂ©tition de la conjonction et », la possibilitĂ© insistante de la disjonction celle, prĂ©cisĂ©ment, qui peut toujours survenir entre l’adhĂ©sion sincĂšre des acteurs ici les personnels d’éducation aux valeurs et aux principes rĂ©publicains qui fondent leur engagement professionnel et la reconnaissance du fait que, au sein des situations concrĂštes les plus diverses, ces rĂ©fĂ©rences-lĂ  ne suffisent pas Ă  dĂ©terminer la rĂšgle de leur pratique. LĂ  commence, si l’on veut, l’ Ă©thique » lorsque, au sein d’interactions complexes, c’est l’attachement mĂȘme Ă  nos exigences morales qui nous fait Ă©prouver les limites de notre maĂźtrise, et que l’essentiel tient alors Ă  des choix toujours risquĂ©s, mettant notre sagacitĂ© hermĂ©neutique » selon un mot d’Eirick Prairat au service d’une action dont nous voulons en effet, tant au plan de ses principes qu’au regard de ses consĂ©quences, pouvoir rĂ©pondre sans jamais en ĂȘtre pleinement assurĂ©s le sentiment d’ĂȘtre responsable » n’indique pas autre chose. 31On comprend alors que, confrontĂ©s Ă  la difficultĂ© de la tĂąche, Ă©tudiants et enseignants puissent parfois rester, disons, interdits devant la rĂ©daction de la compĂ©tence 1 », mĂ©lange inĂ©dit dans sa forme du moins de rhĂ©torique administrative et de bonnes intentions – quelque chose comme une variante bureaucratique de ce que Jacques Roubaud nomma un jour la langue Muesli ». En l’occurrence, le scepticisme constitue encore le meilleur hommage Ă  rendre aux valeurs que, cĂ©lĂ©brant les noces du rĂ©publicanisme bon teint et de la platitude techniciste, un tel jargon dĂ©figure. Il y va Ă  la fois d’un rĂ©flexe de protection et d’une forme de rĂ©sistance opposĂ©s Ă  l’agression que reprĂ©sentent, dĂ©sormais, des injonctions si troubles et contradictoires que ceux qui les reçoivent se demandent comment, et combien de temps, ils pourront les supporter sans rompre. Entendons sans rester bĂ©ants, Ă©tourdis par la honte de se sentir inexorablement enrĂŽlĂ©s au service d’une option politique dĂ©terminĂ©e. Respecter les familles », nous assĂšne-t-on. Certes. Mais qu’est-ce que cela signifie lorsque le parti prĂ©sidentiel, suivi en cela, on l’a vu, par le ministre de l’Éducation nationale, propose, en vue de rĂ©affirmer le principe de laĂŻcitĂ© dans le cadre des services publics », d’interdire dĂ©sormais aux femmes portant un foulard d’accompagner la classe de maniĂšre occasionnelle ou rĂ©guliĂšre, ou encore de participer Ă  divers conseils et rĂ©unions d’école ou d’établissement ? Pourquoi, il est vrai, attendre d’elles qu’elles puissent ne pas ĂȘtre une menace pour la laĂŻcitĂ© puisque, se plaçant explicitement dans la lignĂ©e du rapport Baroin de 2003, celui de 2011 a retenu, n’est-ce pas, qu’il n’y a pas d’individus musulmans, seulement des Ă©chantillons de certaines populations immigrĂ©es » qui, en particulier dans le monde musulman », sont issues d’une culture non laĂŻque et non dĂ©mocratique » et ne sauraient, dĂšs lors, [percevoir] le sens [du] principe de laĂŻcitĂ© ». AssurĂ©ment, les parlementaires UMP qui intitulent trĂšs sĂ©rieusement leur rapport LaĂŻcitĂ©. Pour mieux vivre ensemble et, pour faire bonne mesure, le placent sous l’égide du pacte rĂ©publicain » s’emploient sans trĂȘve ni repos Ă  rĂ©aliser cette vision fort inspirĂ©e d’une laĂŻcitĂ© culturelle et identitaire » qui, Ă©tayĂ©e par des considĂ©rations socio-anthropologiques de haut vol sur la culture musulmane », faisait le sel inimitable du moins osait-on l’espĂ©rer de la prose de M. Baroin. In fine, le tout donne la recette de l’abĂȘtissement en politique d’un cĂŽtĂ©, lĂ  oĂč il faudrait penser Ă  partir d’eux, de leurs expĂ©riences, de leurs inventions, de leurs incertitudes aussi, les individus sont effacĂ©s derriĂšre la rĂ©fĂ©rence incantatoire aux cultures » et aux communautĂ©s » ou dĂ©niĂ©s les personnels d’éducation, comme au reste bien des acteurs des milieux de la santĂ©, de la culture, du travail social, entendent d’autant plus rĂ©sonner les appels Ă  la responsabilitĂ© » que le cadre normatif censĂ© guider leur action se disloque, les laissant assujettis Ă  des accĂšs d’anxiĂ©tĂ©, sinon de mĂ©pris de soi, confinant parfois Ă  la pathologie. De l’autre, quelque individu dont les hautes charges impliquent pourtant un souci exemplaire de l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral se complaĂźt dans l’hypertrophie de la subjectivitĂ©. Un prĂ©sident de la RĂ©publique qui, en octroyant un statut d’exception Ă  la chrĂ©tientĂ© » dans la dĂ©termination de l’identitĂ© de la France », affirme le principe de ce fractionnement communautaire de la sociĂ©tĂ© qu’il affecte cependant de dĂ©noncer, celui-lĂ  ne se contente pas de dĂ©duire la physionomie de la sphĂšre publique de ses prĂ©fĂ©rences confessionnelles ce faisant, il va jusqu’à rĂ©cuser l’attachement Ă  la prĂ©sĂ©ance du bien de l’état sur le sien propre – cette vertu dont Montesquieu a dit combien elle est indispensable au gouvernement rĂ©publicain Montesquieu, 1979 [1748], p. 143 sq..Aussi devient-il impossible, aux yeux du fonctionnaire de l’État » qui, sachant l’importance d’un tel principe, en reconnaĂźt une traduction prĂ©cieuse dans la neutralitĂ© laĂŻque, d’esquiver ce constat Agir de maniĂšre Ă©thique et responsable » constitue la formule d’une ambition bien intrĂ©pide Ă  une Ă©poque oĂč, dans les allĂ©es du pouvoir et jusque sous les ors de la RĂ©publique, on ne recule guĂšre devant les conduites partiales et irresponsables. ElĂšves institutrices dans la salle d’étude de l’Ecole normale EckmĂŒhl, Oran, 1940 archives familiales de Gilles Moutot.Peu de temps aprĂšs que cette photographie a Ă©tĂ© prise, les deux jeunes filles assises au premier plan furent victimes de la politique d’exclusion menĂ©e par le rĂ©gime de Vichy Ă  l’encontre des Juifs. GrĂące au soutien de la directrice de l’Ecole, Mme Tubiana, et aux contributions matĂ©rielles de quelques familles de pensionnaires, elles purent nĂ©anmoins poursuivre leur scolaritĂ© pendant quelques mois – avant que l’Etat français ne procĂšde, Ă  partir du 1er octobre 1941, Ă  la fermeture des Ecoles normales. Ensemble Scolaire EuropĂ©en St RĂ©gis - St Michel 2, rue AbbĂ©-de-l'EpĂ©e 43000 LE PUY - EN - VELAY TĂ©l 04 71 07 20 80

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